La maison de la plage est le bureau de l'artiste designer Hajer Azzouz.
C'est aussi un espace de rencontre entre artistes de différents univers, qu'elle accompagne et qu'elle promeut. Un accompagnement de plus en plus sollicité, grâce au succès que rencontrent ces derniers.
Chineuse, acheteuse et collectionneuse également, elle a fait de cet endroit un musée où elle expose les œuvres qu'elle va chercher des quatre coins du globe.
Ses recherches et ses réalisations lui valent une belle reconnaissance à l'international, grâce à son travail de designer et scénographe, favorisant différentes rencontres.
C'est de là qu'est née l'idée de promouvoir la scène artistique tunisienne à l'étranger. Son projet "Maison de la Plage à Paris" est le premier de ce genre. Elle l'appelle "format zéro".
C'est un projet personnel et privé. C'est aussi quatre ans de boulot, de recherches et de rencontres.
"Je veux mettre la culture de mon pays en avant," explique Hajer Azzouz au HuffPost Tunisie,"c'est un devoir que de soutenir la Tunisie et promouvoir la scène artistique", insiste-t-elle.
Pour Hajer, les artistes tunisiens ont beaucoup à dire, beaucoup à montrer. La scène artistique tunisienne est en pleine effervescence et le but de son projet est donc d'exposer les œuvres de ces artistes aux "yeux du monde". "Je veux représenter mon pays à ma manière," dit-elle, "c'est pourquoi j'ai décidé de faire voyager mon atelier ailleurs, en commençant par Paris."
Hajer Azzouz emmène donc son univers dans une galerie en plein Paris. Du 15 septembre au 8 octobre, 6 artistes tunisiens, de 6 univers différents:
Mariam Al Ferjani, artiste esthète.
Jaye, artiste graffiti.
Myriam Zéramdini, illustratrice (Projet Novah Sayöz)
Othmane Taleb, artiste visuel.
Sabri Ben Mlouka, photographe.
Sophia Baraket, photographe documentaire.
Art et innovation ne feront qu'un.
C'est aussi un espace de rencontre entre artistes de différents univers, qu'elle accompagne et qu'elle promeut. Un accompagnement de plus en plus sollicité, grâce au succès que rencontrent ces derniers.
Chineuse, acheteuse et collectionneuse également, elle a fait de cet endroit un musée où elle expose les œuvres qu'elle va chercher des quatre coins du globe.
Ses recherches et ses réalisations lui valent une belle reconnaissance à l'international, grâce à son travail de designer et scénographe, favorisant différentes rencontres.
C'est de là qu'est née l'idée de promouvoir la scène artistique tunisienne à l'étranger. Son projet "Maison de la Plage à Paris" est le premier de ce genre. Elle l'appelle "format zéro".
C'est un projet personnel et privé. C'est aussi quatre ans de boulot, de recherches et de rencontres.
"Je veux mettre la culture de mon pays en avant," explique Hajer Azzouz au HuffPost Tunisie,"c'est un devoir que de soutenir la Tunisie et promouvoir la scène artistique", insiste-t-elle.
Pour Hajer, les artistes tunisiens ont beaucoup à dire, beaucoup à montrer. La scène artistique tunisienne est en pleine effervescence et le but de son projet est donc d'exposer les œuvres de ces artistes aux "yeux du monde". "Je veux représenter mon pays à ma manière," dit-elle, "c'est pourquoi j'ai décidé de faire voyager mon atelier ailleurs, en commençant par Paris."
Hajer Azzouz emmène donc son univers dans une galerie en plein Paris. Du 15 septembre au 8 octobre, 6 artistes tunisiens, de 6 univers différents:
Mariam Al Ferjani, artiste esthète.
Jaye, artiste graffiti.
Myriam Zéramdini, illustratrice (Projet Novah Sayöz)
Othmane Taleb, artiste visuel.
Sabri Ben Mlouka, photographe.
Sophia Baraket, photographe documentaire.
Art et innovation ne feront qu'un.
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