Rarement une promenade à Tunis aura été plus agréable et plus festive que pendant INTERFERENCE.
Entre mapping, musique et expositions, les festivaliers ont été transportés dans une utopie de la médina tunisienne, nappée d'art sous toutes les formes.
Un mariage de cultures, tant avec les artistes que les visiteurs, a plongé Tunis dans une ambiance nouvelle. Tous exprimaient leur aspiration à la liberté, à la paix, à une Tunisie joyeuse.
Tunisiens et étrangers se sont baladés, ont contemplé les oeuvres d'art, entre Dar Lasram, Dar Ben Achour, Palais Kheireddine ou encore Al Rachidia, pour ne citer que quelques-uns de ces lieux qui ont repris vie autrement et ont ouvert leurs portes gratuitement.
Les sites ont abrité 40 oeuvres de différents artistes, une interaction entre architecture, arts visuels, lumières, musique.
"Magique! un régal pour les yeux et pour l'esprit!" s'exclame Chadi. "Voilà un événement comme on aimerait en voir plus souvent." Il a fallu deux soirées pour Chadi pour explorer tout ce qu'offrait INTERFERENCE.
"J'ai découvert de nouvelles formes d'art, mais ce que j'ai apprécié par dessus tout, c'est ce nouveau visage de la ville de Tunis, arpentée par ces gens joyeux et paisibles!", déclare au HuffPost Tunisie, une festivalière se déclarant éblouie par "le pouvoir de l'art sur les esprits".
De la créativité et de la beauté sont nées ces belles émotions que tout le monde souhaiterait voir plus souvent.
C'est dans ce but que les organisateurs d'INTERFERENCE œuvrent maintenant pour instaurer cet esprit dont la Medina a joui.
Leila Ben-Gacem, membre de l'équipe organisatrice, contactée par HuffPost Tunisie a exprimé sa satisfaction quant au déroulement du festival, qui, pour rappel, était entièrement organisé à zéro budget.
Elle a aussi affirmé avoir reçu des réponses positives de la part de la municipalité quant à l'idée d'instaurer un espace permanent, qui mettra en avant l'art des lumières. "Quand on se balade la nuit dans la Medina, on la sent triste, les lumières sont venues lui apporter joie et vivacité, et on aimerait que cela dure, non pas le temps d'un festival, mais pour très longtemps."
Un festival aussi beau que touchant, car chacun s'est donné comme il le pouvait. "C'est là que réside toute la beauté d'INTERFERENCE!" s'est exprimé Leila, "c'est la passion qui nous a tous alimentés!"
Cette passionnée de la médina a aussi tenu à saluer les efforts fournis par chacun: les 120 jeunes bénévoles, étudiants et lycéens, qui se sont donnés à cœur joie de jouer les guides, invitant les visiteurs à découvrir les coins et recoins de Tunis.
Les artistes également, notamment les internationaux qui se sont déplacés à leurs frais, en amenant leurs matériels. Ainsi que tous ceux qui ont participé, de près ou de loin, à la bonne marche du festival.
Entre mapping, musique et expositions, les festivaliers ont été transportés dans une utopie de la médina tunisienne, nappée d'art sous toutes les formes.
Un mariage de cultures, tant avec les artistes que les visiteurs, a plongé Tunis dans une ambiance nouvelle. Tous exprimaient leur aspiration à la liberté, à la paix, à une Tunisie joyeuse.
Tunisiens et étrangers se sont baladés, ont contemplé les oeuvres d'art, entre Dar Lasram, Dar Ben Achour, Palais Kheireddine ou encore Al Rachidia, pour ne citer que quelques-uns de ces lieux qui ont repris vie autrement et ont ouvert leurs portes gratuitement.
Les sites ont abrité 40 oeuvres de différents artistes, une interaction entre architecture, arts visuels, lumières, musique.
"Magique! un régal pour les yeux et pour l'esprit!" s'exclame Chadi. "Voilà un événement comme on aimerait en voir plus souvent." Il a fallu deux soirées pour Chadi pour explorer tout ce qu'offrait INTERFERENCE.
"J'ai découvert de nouvelles formes d'art, mais ce que j'ai apprécié par dessus tout, c'est ce nouveau visage de la ville de Tunis, arpentée par ces gens joyeux et paisibles!", déclare au HuffPost Tunisie, une festivalière se déclarant éblouie par "le pouvoir de l'art sur les esprits".
De la créativité et de la beauté sont nées ces belles émotions que tout le monde souhaiterait voir plus souvent.
C'est dans ce but que les organisateurs d'INTERFERENCE œuvrent maintenant pour instaurer cet esprit dont la Medina a joui.
Leila Ben-Gacem, membre de l'équipe organisatrice, contactée par HuffPost Tunisie a exprimé sa satisfaction quant au déroulement du festival, qui, pour rappel, était entièrement organisé à zéro budget.
Elle a aussi affirmé avoir reçu des réponses positives de la part de la municipalité quant à l'idée d'instaurer un espace permanent, qui mettra en avant l'art des lumières. "Quand on se balade la nuit dans la Medina, on la sent triste, les lumières sont venues lui apporter joie et vivacité, et on aimerait que cela dure, non pas le temps d'un festival, mais pour très longtemps."
Un festival aussi beau que touchant, car chacun s'est donné comme il le pouvait. "C'est là que réside toute la beauté d'INTERFERENCE!" s'est exprimé Leila, "c'est la passion qui nous a tous alimentés!"
Cette passionnée de la médina a aussi tenu à saluer les efforts fournis par chacun: les 120 jeunes bénévoles, étudiants et lycéens, qui se sont donnés à cœur joie de jouer les guides, invitant les visiteurs à découvrir les coins et recoins de Tunis.
Les artistes également, notamment les internationaux qui se sont déplacés à leurs frais, en amenant leurs matériels. Ainsi que tous ceux qui ont participé, de près ou de loin, à la bonne marche du festival.
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