FRANCE- Plusieurs personnes ont été placées en gardes à vue après la découverte d'un véhicule contenant au moins six bouteilles de gaz (dont cinq pleines), non loin de la cathédrale de Notre Dame à Paris, rapporte ce mercredi 7 septembre le quotidien français Le Figaro.
L'enquête a été confiée à la section terroriste de la Brigade criminelle et à la DGSI, renseigne encore le quotidien, précisant que "le véhicule suspect, de marque Peugeot 607 et dénué de toute plaque d'immatriculation, était stationné Quai de Montebello, dans le Ve arrondissement". Plutôt rassurant, les bonbonnes n'étaient reliées à aucun détonateur ni système de mise à feu, ce qu'une source porche du dossier a confirmé à L'Express. C'est dans la soirée de dimanche à lundi que les enquêteurs, alertés par un riverain, ont fait cette étrange découverte, le véhicule ayant les clignotants activés.
Toujours selon Le Figaro, plusieurs personnes étaient en garde à vue dans le cadre d'une enquête préliminaire ouverte pour "association de malfaiteurs terroristes criminelle". Six personnes ont été interpellées, dont une femme fichée S, affirme de son côté la chaine d'info française i-Télé. Pour sa part, l'AFP indique que deux personnes sont en garde à vue, quatre personnes ayant été remises en liberté.
Selon France Info, il s'agit d'un couple originaire du Loiret qui a été interpellé hier près d'Orange, dans le Vaucluse. "Le couple est connu des services de police", détaille la radio.
L'hypothèse d'un attentat à la voiture piégée est prise très au sérieux par les services anti-terroristes. Patrick Clavar, patron de la DGSI, s'est récemment dit "persuadé" que Daech utilisera ce mode opératoire. "Dès qu'ils auront projeté sur notre territoire des artificiers, [les terroristes] pourront éviter de sacrifier leurs combattants tout en créant le maximum de dégâts", avait-il prédit.
L'enquête a été confiée à la section terroriste de la Brigade criminelle et à la DGSI, renseigne encore le quotidien, précisant que "le véhicule suspect, de marque Peugeot 607 et dénué de toute plaque d'immatriculation, était stationné Quai de Montebello, dans le Ve arrondissement". Plutôt rassurant, les bonbonnes n'étaient reliées à aucun détonateur ni système de mise à feu, ce qu'une source porche du dossier a confirmé à L'Express. C'est dans la soirée de dimanche à lundi que les enquêteurs, alertés par un riverain, ont fait cette étrange découverte, le véhicule ayant les clignotants activés.
Toujours selon Le Figaro, plusieurs personnes étaient en garde à vue dans le cadre d'une enquête préliminaire ouverte pour "association de malfaiteurs terroristes criminelle". Six personnes ont été interpellées, dont une femme fichée S, affirme de son côté la chaine d'info française i-Télé. Pour sa part, l'AFP indique que deux personnes sont en garde à vue, quatre personnes ayant été remises en liberté.
Voiture suspecte découverte à #Paris > 6 personnes ont été placées en garde à vue, dont une femme fichée S (@itele)
— iTELE (@itele) 7 septembre 2016
Selon France Info, il s'agit d'un couple originaire du Loiret qui a été interpellé hier près d'Orange, dans le Vaucluse. "Le couple est connu des services de police", détaille la radio.
Bonbonnes de gaz près de Notre-Dame-de-Paris : les premières précisions https://t.co/nYiWsdDOZ0
— franceinfo (@franceinfo) 7 septembre 2016
L'hypothèse d'un attentat à la voiture piégée est prise très au sérieux par les services anti-terroristes. Patrick Clavar, patron de la DGSI, s'est récemment dit "persuadé" que Daech utilisera ce mode opératoire. "Dès qu'ils auront projeté sur notre territoire des artificiers, [les terroristes] pourront éviter de sacrifier leurs combattants tout en créant le maximum de dégâts", avait-il prédit.
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