SOCIÉTÉ- Oussema Bouthelja, avocat, ancien chargé de mission au ministère de l'Intérieur auprès de Ali Laârayedh, n'a pas apprécié un dessin d'un livre de la langue arabe de première année primaire et le fait savoir sur son profil Facebook.
Le dessin en question illustre une maman en bikini sur une plage. "Une mère dénudée...c'est une corruption morale via l'éducation", a-t-il commenté.
Présenté comme un dirigeant du parti Ennahdha, Oussema Bouthelja, a affirmé jeudi 8 septembre au journal arabophone Assabah New, qu'il n'occupe aucun poste actuellement à Ennahdha et que sa critique n'engage que lui.
Il a réitéré par ailleurs ses propos dénonçant une photo "qui ne présente pas la femme tunisienne".
Il estime également que la polémique autour de ses propos "est commanditée par des pages Facebook et qu'elle n'est qu'une tempête dans un verre d'eau".
Ce n'est pas la première fois que Oussema Bouthelja fait parler de lui. En août 2015, il avait porté plainte contre Habib Rachdi, secrétaire général du syndicat de la police républicaine pour diffamation. Ce dernier l'avait accusé d'être impliqué dans les assassinats de Chokri Belaid et de Mohamed Brahmi et d'être l'instigateur d'un système de sécurité parallèle.
Le dessin en question illustre une maman en bikini sur une plage. "Une mère dénudée...c'est une corruption morale via l'éducation", a-t-il commenté.
Présenté comme un dirigeant du parti Ennahdha, Oussema Bouthelja, a affirmé jeudi 8 septembre au journal arabophone Assabah New, qu'il n'occupe aucun poste actuellement à Ennahdha et que sa critique n'engage que lui.
Il a réitéré par ailleurs ses propos dénonçant une photo "qui ne présente pas la femme tunisienne".
Il estime également que la polémique autour de ses propos "est commanditée par des pages Facebook et qu'elle n'est qu'une tempête dans un verre d'eau".
Ce n'est pas la première fois que Oussema Bouthelja fait parler de lui. En août 2015, il avait porté plainte contre Habib Rachdi, secrétaire général du syndicat de la police républicaine pour diffamation. Ce dernier l'avait accusé d'être impliqué dans les assassinats de Chokri Belaid et de Mohamed Brahmi et d'être l'instigateur d'un système de sécurité parallèle.
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