Le directeur de la communication au ministère des affaires étrangères, Naoufel Laabidi a assuré que les informations publiées par certains médias et sites électroniques sur la possibilité de nommer des ministres du précédent gouvernement, à la tête de plusieurs représentations diplomatiques à l’étranger sont “dénuées de fondements “, affirmant qu'”il s’agit de simples rumeurs”.
Laabidi a souligné dimanche dans une déclaration à l’Agence TAP, “la nécessité d’obtenir les informations de sources officielles”, avant la diffusion d’informations “erronées”.
En vertu de la constitution, “le chef de l’Etat est habilité à nommer des compétences nationales aux hauts postes diplomatiques, à l’instar de ce qui se passe dans d’autres pays du monde et ce afin de renforcer l’efficacité de la diplomatie tunisienne”, a ajouté Laabidi.
Cette déclaration intervient à la suite de la diffusion vendredi 9 septembre, d’un communiqué du Syndicat du corps diplomatique, dans lequel ce dernier avait affirmé son attachement à la neutralité de l’administration diplomatique et déploré une violation de l’article 15 de la Constitution.
Le syndicat avait également mis en garde contre ”un retour des pratiques de l’ancien régime” et de ”la politique du fait accompli“, appelant à la nécessité de tirer le meilleur profit des compétences diplomatiques que compte le ministère des Affaires étrangères.
Laabidi a souligné dimanche dans une déclaration à l’Agence TAP, “la nécessité d’obtenir les informations de sources officielles”, avant la diffusion d’informations “erronées”.
En vertu de la constitution, “le chef de l’Etat est habilité à nommer des compétences nationales aux hauts postes diplomatiques, à l’instar de ce qui se passe dans d’autres pays du monde et ce afin de renforcer l’efficacité de la diplomatie tunisienne”, a ajouté Laabidi.
Cette déclaration intervient à la suite de la diffusion vendredi 9 septembre, d’un communiqué du Syndicat du corps diplomatique, dans lequel ce dernier avait affirmé son attachement à la neutralité de l’administration diplomatique et déploré une violation de l’article 15 de la Constitution.
Le syndicat avait également mis en garde contre ”un retour des pratiques de l’ancien régime” et de ”la politique du fait accompli“, appelant à la nécessité de tirer le meilleur profit des compétences diplomatiques que compte le ministère des Affaires étrangères.
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