Dans une déclaration accordée à l’agence TAP, le député parlementaire du mouvement de Nidaa Tounes, Tahar Battikh, a indiqué que trente-huit députés de Nidaa ont signé une pétition à travers laquelle ils réclament à ce que des élections soient organisées au cours des prochaines journées parlementaires – prévues pour la fin du mois courant – afin d’élire un nouveau président du bloc parlementaire.
Tahar Battikh a expliqué que selon le règlement intérieur du bloc, des élections doivent être tenues à chaque nouvelle session parlementaire. Et d’ajouter que Sofiene Toubel a été élu en avril dernier suite à la démission de Mohamed Fadhel Ben Omrane. De ce fait, l’élection de Toubel n’est valable que pour la période restante du mandat de Ben Omrane.
Intervenant sur les ondes de la radio Express FM, le député a accusé Sofiene Toubel d’être derrière un clan – formé d’une quinzaine de députés de Nidaa Tounes – qui collaborent avec un nombre d’hommes d’affaires connus par l’opinion publique pour leur corruption.
Refusant de donner des noms, Tahar Battikh a assuré que ces personnes travaillent continuellement afin de nuire au mouvement et de ralentir ses avancées. Pour finir, le député a déclaré qu’une réunion urgente des cadres des partis a été convoquée et que Sofiene Toubel n’y a pas été convoqué.
De son côté, le député du mouvement de Nidaa Tounes et membre du bureau de l’Assemblée des représentants du peuple chargé des médias, Mongi Harbaoui, a estimé, dans une déclaration accordée à la TAP, que la pétition des trente-huit députés survient dans le cadre d’une campagne de dénigrement visant l’actuel président du bloc, Sofiene Toubel.
Pour Harbaoui, cette campagne a pour but de fragiliser le bloc parlementaire de son mouvement qui est en train de marquer d’importants progrès dans ses tentatives de récupérer sa première place au sein du Parlement.
Selon plusieurs médias, des tensions existeraient entre Hafedh Caïd Essebsi et Sofiene Toubel, ce qui expliquerait ce tohu-bohu à Nidaa Tounes.
Pour rappel, le président du bloc parlementaire de Nidaa Tounes est actuellement en pèlerinage à la Mecque.
Tahar Battikh a expliqué que selon le règlement intérieur du bloc, des élections doivent être tenues à chaque nouvelle session parlementaire. Et d’ajouter que Sofiene Toubel a été élu en avril dernier suite à la démission de Mohamed Fadhel Ben Omrane. De ce fait, l’élection de Toubel n’est valable que pour la période restante du mandat de Ben Omrane.
Intervenant sur les ondes de la radio Express FM, le député a accusé Sofiene Toubel d’être derrière un clan – formé d’une quinzaine de députés de Nidaa Tounes – qui collaborent avec un nombre d’hommes d’affaires connus par l’opinion publique pour leur corruption.
Refusant de donner des noms, Tahar Battikh a assuré que ces personnes travaillent continuellement afin de nuire au mouvement et de ralentir ses avancées. Pour finir, le député a déclaré qu’une réunion urgente des cadres des partis a été convoquée et que Sofiene Toubel n’y a pas été convoqué.
De son côté, le député du mouvement de Nidaa Tounes et membre du bureau de l’Assemblée des représentants du peuple chargé des médias, Mongi Harbaoui, a estimé, dans une déclaration accordée à la TAP, que la pétition des trente-huit députés survient dans le cadre d’une campagne de dénigrement visant l’actuel président du bloc, Sofiene Toubel.
Pour Harbaoui, cette campagne a pour but de fragiliser le bloc parlementaire de son mouvement qui est en train de marquer d’importants progrès dans ses tentatives de récupérer sa première place au sein du Parlement.
Selon plusieurs médias, des tensions existeraient entre Hafedh Caïd Essebsi et Sofiene Toubel, ce qui expliquerait ce tohu-bohu à Nidaa Tounes.
Pour rappel, le président du bloc parlementaire de Nidaa Tounes est actuellement en pèlerinage à la Mecque.
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