AFFAIRES ÉTRANGÈRES- S’exprimant en marge des travaux de la 71e session de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York et du Sommet de l’ONU pour les réfugiés et les migrants, le ministre des Affaires étrangères, Khemaies Jhinaoui a fait savoir que la Tunisie est à pied d’œuvre pour élaborer une stratégie nationale visant à promouvoir une migration organisée et à mettre les émigrés tunisiens à contribution dans les efforts de développement économique et social, lit-on dans un communiqué du ministère des AE publié mercredi 21 septembre.
Il s’agit, également, selon le ministre, de préserver les droits des émigrés tunisiens et d’assurer la protection des migrants étrangers et des demandeurs d’asile, tout en luttant contre l’émigration clandestine et en parachevant la loi sur la traite des personnes.
Il est à noter qu'à l'issue du ce Sommet, une Déclaration de tous les États membres a été adoptée. Elle vise à "sauver des vies et partager la responsabilité du soutien et de l'accueil des réfugiés et migrants", note l'ONU dans un communiqué.
En adoptant la Déclaration de New York, les États membres s’engagent aussi à entamer des négociations pour l'adoption d'un "pacte mondial pour la migration sûre, ordonnée et régulière" en 2018.
Ils devront également élaborer des lignes directrices sur le traitement des migrants en situation vulnérable, et parvenir à un partage plus équitable de la charge et la responsabilité de l'accueil et du soutien des réfugiés dans le monde en adoptant un pacte mondial sur les réfugiés en 2018, poursuit l'ONU dans son communiqué.
Il s’agit, également, selon le ministre, de préserver les droits des émigrés tunisiens et d’assurer la protection des migrants étrangers et des demandeurs d’asile, tout en luttant contre l’émigration clandestine et en parachevant la loi sur la traite des personnes.
Il a souligné également l’importance de traiter les facteurs à l’origine de l’amplification du phénomène de l’émigration clandestine qui, a-t-il dit, requiert des solutions politiques aux crises et aux conflits, la protection des droits de l’Homme et la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030 sur la base d’une approche globale, solidaire et à long terme.
Il est à noter qu'à l'issue du ce Sommet, une Déclaration de tous les États membres a été adoptée. Elle vise à "sauver des vies et partager la responsabilité du soutien et de l'accueil des réfugiés et migrants", note l'ONU dans un communiqué.
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Les pays s'engagent ainsi à garantir un certain nombre de droits aux migrants et réfugiés. Ils doivent par exemple veiller à ce que les enfants reçoivent une éducation dans les mois suivant leur arrivée, prévenir et répondre à la violence sexuelle et sexiste, soutenir les pays secourant, recevant et accueillant un grand nombre de réfugiés et de migrants, condamner la xénophobie ou encore améliorer la distribution de l'aide humanitaire et de l'aide au développement pour les pays les plus touchés.
En adoptant la Déclaration de New York, les États membres s’engagent aussi à entamer des négociations pour l'adoption d'un "pacte mondial pour la migration sûre, ordonnée et régulière" en 2018.
Ils devront également élaborer des lignes directrices sur le traitement des migrants en situation vulnérable, et parvenir à un partage plus équitable de la charge et la responsabilité de l'accueil et du soutien des réfugiés dans le monde en adoptant un pacte mondial sur les réfugiés en 2018, poursuit l'ONU dans son communiqué.
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