Rares sont les moments où une femme aborde un homme dans la rue. Si les personnes sont habituées à ce que les femmes se fassent naturellement draguer - et harceler- , la situation inverse pourrait laisser pantois.
La dernière rubrique de "Notre grand peuple" diffusée sur l'émission "RDV9" sur Attessia TV a tenté de confronter des hommes passant dans la rue à une femme adossée sur un mur, qui alterne entre des bisous lancés aux piétons, et quelques "chatons". Tournée sous forme de caméra cachée, et jouée par des acteurs, la chronique tente d'analyser les réactions et le comportement de citoyens face à des sujets de société.
Réactions qui ne se font pas attendre. Tantôt intrigués, tantôt surpris, quelques rires quand ils comprennent que la jeune femme s'adresse à eux, les hommes les plus téméraires s'approchent d'elle pour tenter leur chance.
L'enjeu de cette caméra cachée? "On n'est pas entrain d'encourager les filles à sortir pour harceler les hommes. On a voulu faire sentir aux hommes ce que ressentent les femmes quand elles passent dans la rue et qu'elles se font aborder dans la rue à coup de "psst", a expliqué la chronique Mona Dachri.
"Il n'empêche que le harcèlement subi par les femmes est plus violent", a précisé le journaliste et chroniqueur Haythem El Mekki.
La dernière rubrique de "Notre grand peuple" diffusée sur l'émission "RDV9" sur Attessia TV a tenté de confronter des hommes passant dans la rue à une femme adossée sur un mur, qui alterne entre des bisous lancés aux piétons, et quelques "chatons". Tournée sous forme de caméra cachée, et jouée par des acteurs, la chronique tente d'analyser les réactions et le comportement de citoyens face à des sujets de société.
Réactions qui ne se font pas attendre. Tantôt intrigués, tantôt surpris, quelques rires quand ils comprennent que la jeune femme s'adresse à eux, les hommes les plus téméraires s'approchent d'elle pour tenter leur chance.
L'enjeu de cette caméra cachée? "On n'est pas entrain d'encourager les filles à sortir pour harceler les hommes. On a voulu faire sentir aux hommes ce que ressentent les femmes quand elles passent dans la rue et qu'elles se font aborder dans la rue à coup de "psst", a expliqué la chronique Mona Dachri.
"Il n'empêche que le harcèlement subi par les femmes est plus violent", a précisé le journaliste et chroniqueur Haythem El Mekki.
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