Le 2 octobre, et sous le slogan "Ici c'est Carthage... C'est Run in Carthage", s'est tenu une course dont le parcours de 12.5 km a traversé la Banlieue Nord, de Carthage à Sidi Bousaid en passant par La Marsa.
Un trajet sélectionné pour la beauté de ses environs. En effet, les runners, tunisiens et étrangers, ont pu effectuer leur course tout en contemplant les monuments et les sites historiques, faisant ainsi du sport et de la culture des disciplines apparentées.
De nombreux runners ont participé à la course. "Ça fait plaisir de voir autant de monde à un événement sportif en Tunisie" témoigne Molka, une participante, avec beaucoup d'enthousiasme, "et la diversité aussi était au rendez-vous, des participants de tous les âges et de différentes nationalités."
Pour la runneuse, "Run in Carthage" et "Les foulées de Megara" sont devenus des événements sportifs très populaires en Tunisie et devraient être soutenus par la Fédération Tunisienne d'Atlétisme.
Elle finit avec un "big-up" adressé à l'équipe de l'organisation, qui selon elle, était au top.
Les précisions apportées par les organisateurs révèlent que le nombre des participants a dépassé les 3000, puisque certains ont entamé la course sans dossards et donc sans avoir été inscrits au préalable. Sur ces 3000, 30 % sont des femmes.
En ce qui concerne les participants étrangers, leur nombre avoisine les 300.
300 étrangers issus de 22 nationalités différentes, avec une majorité française. L'ambassadeur de l'Inde ainsi que des diplomates allemands ont aussi participé à la course.
Un événement d'envergure soutenu par la ministre de la Jeunesse et des Sports qui était présente pour donner le coup d'envoi de cette seconde édition de "Run in Carthage". Le secrétaire d'Etat du même ministère a aussi répondu présent et a décerné les prix aux vainqueurs.
Et en parlant de vainqueurs, du côté des runners, c'est Wissam Hosni qui est arrivé en premier en 38 minutes et 35 secondes, suivi par Raouf Boubaker dont le chrono affichait 39.12. Une douzaine de secondes après arrive Romdhan Badri.
Du côté des runneuses, c'est Soumaya Dhahri qui a trôné sur la course en arrivant première parmi les femmes en 48 minutes et 17 secondes. 5 secondes plus tard, c'est Mahbouba Belgacem qui passe la ligne d'arrivée. Maissa Romdhani vient occuper la 3ème place en 51 minutes et 46 secondes.
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Retour sur le coup de gueule "environnemental"
Sami Ben Sassi, le runner qui avait poussé un coup de gueule quelques jours avant la date de l’événement, dénonçant l'état du parcours, a fait part de sa satisfaction au HuffPost Tunisie. En effet, il avait fait appel au ministère de l'Environnement, et il a été entendu.
Après les images navrantes qui montraient le sale état des rues de la banlieue, voici de nouvelles photos prises après la réaction du ministère de l'Environnement
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Contacté par le HuffPost Tunisie, il déclare: "Le parcours brillait de propreté, comme jamais! Ça aurait pu être le cas depuis longtemps, au lieu d'attendre qu'un événement s'y déroule, mais c'est toujours mieux que rien!"
Cela fait certainement plaisir... "Sauf que," continue Sami, "aujourd'hui, j'ai repris mon jogging, et j'ai vu des canettes de bière jetées par terre! Rien à dire..."
Un trajet sélectionné pour la beauté de ses environs. En effet, les runners, tunisiens et étrangers, ont pu effectuer leur course tout en contemplant les monuments et les sites historiques, faisant ainsi du sport et de la culture des disciplines apparentées.
LIRE AUSSI: "Run in Carthage": Quand sport et culture font course commune
De nombreux runners ont participé à la course. "Ça fait plaisir de voir autant de monde à un événement sportif en Tunisie" témoigne Molka, une participante, avec beaucoup d'enthousiasme, "et la diversité aussi était au rendez-vous, des participants de tous les âges et de différentes nationalités."
Pour la runneuse, "Run in Carthage" et "Les foulées de Megara" sont devenus des événements sportifs très populaires en Tunisie et devraient être soutenus par la Fédération Tunisienne d'Atlétisme.
Elle finit avec un "big-up" adressé à l'équipe de l'organisation, qui selon elle, était au top.
"C'était un grand jour dédié à la sportivité et à l'enchantement", raconte l'organisateur de l'événement Riadh Ben Zazia. "Le Run In Carthage donne l'exemple en termes d'organisation et bat son propre record sur le plan des participations."
Les précisions apportées par les organisateurs révèlent que le nombre des participants a dépassé les 3000, puisque certains ont entamé la course sans dossards et donc sans avoir été inscrits au préalable. Sur ces 3000, 30 % sont des femmes.
En ce qui concerne les participants étrangers, leur nombre avoisine les 300.
300 étrangers issus de 22 nationalités différentes, avec une majorité française. L'ambassadeur de l'Inde ainsi que des diplomates allemands ont aussi participé à la course.
Un événement d'envergure soutenu par la ministre de la Jeunesse et des Sports qui était présente pour donner le coup d'envoi de cette seconde édition de "Run in Carthage". Le secrétaire d'Etat du même ministère a aussi répondu présent et a décerné les prix aux vainqueurs.
Et en parlant de vainqueurs, du côté des runners, c'est Wissam Hosni qui est arrivé en premier en 38 minutes et 35 secondes, suivi par Raouf Boubaker dont le chrono affichait 39.12. Une douzaine de secondes après arrive Romdhan Badri.
Du côté des runneuses, c'est Soumaya Dhahri qui a trôné sur la course en arrivant première parmi les femmes en 48 minutes et 17 secondes. 5 secondes plus tard, c'est Mahbouba Belgacem qui passe la ligne d'arrivée. Maissa Romdhani vient occuper la 3ème place en 51 minutes et 46 secondes.
Retour sur le coup de gueule "environnemental"
Sami Ben Sassi, le runner qui avait poussé un coup de gueule quelques jours avant la date de l’événement, dénonçant l'état du parcours, a fait part de sa satisfaction au HuffPost Tunisie. En effet, il avait fait appel au ministère de l'Environnement, et il a été entendu.
Après les images navrantes qui montraient le sale état des rues de la banlieue, voici de nouvelles photos prises après la réaction du ministère de l'Environnement
Contacté par le HuffPost Tunisie, il déclare: "Le parcours brillait de propreté, comme jamais! Ça aurait pu être le cas depuis longtemps, au lieu d'attendre qu'un événement s'y déroule, mais c'est toujours mieux que rien!"
Cela fait certainement plaisir... "Sauf que," continue Sami, "aujourd'hui, j'ai repris mon jogging, et j'ai vu des canettes de bière jetées par terre! Rien à dire..."
LIRE AUSSI: Coup de gueule d'un runner: "Les ordures courent les rues de la banlieue"
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