Dans un communiqué publié ce mercredi 5 octobre, l’Union générale tunisienne du travail est revenue aux dernières annonces économiques faites, lors d’une interview télévisée, par le chef du gouvernement, Youssef Chahed.
Suite à la rencontre de ses représentants avec ceux du gouvernement, la centrale syndicale a annoncé son refus de voir reportées ou annulées les augmentations qui ont déjà été validées. Pour l’UGTT, un éventuel report ou annulation sera le synonyme d’une grave atteinte à la paix sociale et un signe du non respect gouvernemental vis-à-vis de l'Accord de Carthage.
C’est dans ce sens que le communiqué a vivement appelé le secteur privé – en l’occurrence, l’UTICA – à appliquer, rapidement, les augmentations salariales au titre des années 2016 et 2017. Le communiqué a rappelé la convention signée par l’UTICA et l’UGTT au sujet de ces augmentations et a insisté sur l’importance de leur application pour la garantie de la paix sociale et de la continuité de la production.
Revenant au dernier discours de Youssef Chahed, le secrétaire-général de l’UGTT, Houcine Abassi (signataire du communiqué), a estimé qu’en période de crise, il est normal de voir le poids du fardeau partagé par toutes les parties prenantes.
Toutefois, Abassi a rappelé que les salariés respectent, depuis des années, leur devoir vis-à-vis de l’Etat tout en expliquant qu’il n’est pas acceptable de forcer la main aux devoirs fiscaux de ces mêmes salariés dont le pouvoir d’achat ne cesse de se détériorer.
Enchaînant, l’UGTT a appelé les autorités concernées à accélérer l’application des mesures annoncées concernant la lutte contre le marché parallèle et l’évasion fiscale et ce afin d’épargner à la classe moyenne des impôts qu’elle ne saura pas affronter.
En ce qui concerne les premières fuites de la loi de Finances de 2017, l’UGTT a estimé que cette loi affaiblira encore plus la classe moyenne tout en favorisant, encore, la classe riche.
Pour finir, la centrale syndicale a appelé le gouvernement à effectuer un audit pour les Finances publiques et à publier le rapport définitif en signe de respect au droit de l’accès à l’information.
Suite à la rencontre de ses représentants avec ceux du gouvernement, la centrale syndicale a annoncé son refus de voir reportées ou annulées les augmentations qui ont déjà été validées. Pour l’UGTT, un éventuel report ou annulation sera le synonyme d’une grave atteinte à la paix sociale et un signe du non respect gouvernemental vis-à-vis de l'Accord de Carthage.
C’est dans ce sens que le communiqué a vivement appelé le secteur privé – en l’occurrence, l’UTICA – à appliquer, rapidement, les augmentations salariales au titre des années 2016 et 2017. Le communiqué a rappelé la convention signée par l’UTICA et l’UGTT au sujet de ces augmentations et a insisté sur l’importance de leur application pour la garantie de la paix sociale et de la continuité de la production.
Revenant au dernier discours de Youssef Chahed, le secrétaire-général de l’UGTT, Houcine Abassi (signataire du communiqué), a estimé qu’en période de crise, il est normal de voir le poids du fardeau partagé par toutes les parties prenantes.
Toutefois, Abassi a rappelé que les salariés respectent, depuis des années, leur devoir vis-à-vis de l’Etat tout en expliquant qu’il n’est pas acceptable de forcer la main aux devoirs fiscaux de ces mêmes salariés dont le pouvoir d’achat ne cesse de se détériorer.
Enchaînant, l’UGTT a appelé les autorités concernées à accélérer l’application des mesures annoncées concernant la lutte contre le marché parallèle et l’évasion fiscale et ce afin d’épargner à la classe moyenne des impôts qu’elle ne saura pas affronter.
En ce qui concerne les premières fuites de la loi de Finances de 2017, l’UGTT a estimé que cette loi affaiblira encore plus la classe moyenne tout en favorisant, encore, la classe riche.
Pour finir, la centrale syndicale a appelé le gouvernement à effectuer un audit pour les Finances publiques et à publier le rapport définitif en signe de respect au droit de l’accès à l’information.
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.