FEMMES- L'association Beity a inauguré le 5 octobre sa maison d'accueil Sidi Ali Azouz à Tunis après quatre années de préparation. Le centre assurera une prise en charge totale des femmes sans abris, exposées à toutes sortes de menaces. On en croise certaines divaguant au centre de ville de Tunis.
Le centre a la capacité d'héberger trente femmes, avec éventuellement leurs enfants. Elles sont hébergées, nourries, encadrées sur le plan juridique et psychologique, a expliqué Wafa Fraouis, responsable de l'hébergement à l'association Beity au HuffPost Tunisie.
Comment faire pour bénéficier des services de l'association? "Il faut venir au local de l'association. Là-bas, on étudie les situations des femmes au cas par cas", a précisé la représentante de Beity.
D'autres femmes parviendront à l'association via d'autres ONG qui travaillent notamment sur les violences faites aux femmes comme les associations Amal, AFTURD ou encore l'ATFD. Ces dernières collaborent avec Beity en leur envoyant les dossiers de situations d'urgence, de femmes qui font l'objet de dangers imminents et qui doivent être prises en charge immédiatement.
"À part cette population très importante parmi les dossiers qu'on reçoit, on a à faire aussi à des femmes divorcées qui se trouvent du jour au lendemain sans refuge, les mères célibataires, les migrantes et les étudiantes qui n'ont pas les moyens pour payer un foyer privé ou un loyer, etc".
Cette maison d'accueil n'est pas la première de l'ATFD, la première était provisoire en attendant celle de Sidi Ali Azouz explique Wafa Fraouis. "D'ailleurs, les femmes, hébergées dans le premier centre sont désormais autonomes. Nous avons entamé avec elles des projets de vie pour les aider à se prendre en charge de façon durable", conclut-elle.
Le centre a la capacité d'héberger trente femmes, avec éventuellement leurs enfants. Elles sont hébergées, nourries, encadrées sur le plan juridique et psychologique, a expliqué Wafa Fraouis, responsable de l'hébergement à l'association Beity au HuffPost Tunisie.
Comment faire pour bénéficier des services de l'association? "Il faut venir au local de l'association. Là-bas, on étudie les situations des femmes au cas par cas", a précisé la représentante de Beity.
D'autres femmes parviendront à l'association via d'autres ONG qui travaillent notamment sur les violences faites aux femmes comme les associations Amal, AFTURD ou encore l'ATFD. Ces dernières collaborent avec Beity en leur envoyant les dossiers de situations d'urgence, de femmes qui font l'objet de dangers imminents et qui doivent être prises en charge immédiatement.
"À part cette population très importante parmi les dossiers qu'on reçoit, on a à faire aussi à des femmes divorcées qui se trouvent du jour au lendemain sans refuge, les mères célibataires, les migrantes et les étudiantes qui n'ont pas les moyens pour payer un foyer privé ou un loyer, etc".
Cette maison d'accueil n'est pas la première de l'ATFD, la première était provisoire en attendant celle de Sidi Ali Azouz explique Wafa Fraouis. "D'ailleurs, les femmes, hébergées dans le premier centre sont désormais autonomes. Nous avons entamé avec elles des projets de vie pour les aider à se prendre en charge de façon durable", conclut-elle.
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