Le député du bloc parlementaire du mouvement de Nidaa Tounes, Tahar Battikh, a annoncé, lors d’une déclaration accordée à la Radio nationale, que le bloc parlementaire de l’Union patriotique libre (UPL) viendra renforcer celui de Nidaa Tounes via une fusion officielle. Selon Tahar Battikh, les deux blocs n’ont jamais connu de divergences au niveau de leur positionnement parlementaire ce qui devrait faciliter la tâche.
Cette annonce survient suite à l’adhésion de deux anciens députés de l’UPL au bloc de Nidaa Tounes. Tahar Foudil et Lamia Dridi ont officiellement rejoint le bloc qui atteint, pour la première fois depuis la scission de 2015, le nombre de soixante-neuf députés, siégeant ainsi, côte à côte avec le bloc d’Ennahdha, à la première place au sein de l’Assemblée des représentants du peuple.
Bien que Tahar Battikh ait nié l’absence de divergences entre les deux partis, une tentative de fusion avait été annoncée en janvier dernier. Le même député, Tahar Battikh, avait annoncé la fusion avec les députés de l’UPL, le tout dans un contexte où Nidaa Tounes était traversée par une crise opposant le camp de Mohsen Marzouk à celui de Hafedh Caïd Essebsi.
La réponse des députés de l’UPL était catégorique: ils avaient refusé d’être mêlés à la bataille interne du Nidaa et ont rejeté toute idée de fusion.
Trois mois plus tard, la tension a atteint le niveau supérieur entre les deux partis après que trois députés dissidents du bloc de l’UPL se soient ralliés à celui de Nidaa Tounes. Commentant l’incident, Slim Riahi, président de l’UPL, avait publié un texte polémique sur sa page officielle Facebook où il avait accusé les députés de Nidaa Tounes d’avoir acheté ceux qui ont quitté son bloc.
Pour couronner le tout, Slim Riahi avait accusé l’homme d’affaires Chafik Jarraya, d’être le réel président du mouvement de Nidaa Tounes.
Loin de Nidaa Tounes, l’UPL n’en est pas à sa première tentative de fusion: en avril dernier, le président d’Al Moubadara, Kamel Morjane, avait annoncé que les deux partis menaient des discussions qui allaient aboutir à une fusion. Ce projet n’avait finalement pas eu lieu et aucune explication officielle n’a été annoncée au grand public.
Cette annonce survient suite à l’adhésion de deux anciens députés de l’UPL au bloc de Nidaa Tounes. Tahar Foudil et Lamia Dridi ont officiellement rejoint le bloc qui atteint, pour la première fois depuis la scission de 2015, le nombre de soixante-neuf députés, siégeant ainsi, côte à côte avec le bloc d’Ennahdha, à la première place au sein de l’Assemblée des représentants du peuple.
Bien que Tahar Battikh ait nié l’absence de divergences entre les deux partis, une tentative de fusion avait été annoncée en janvier dernier. Le même député, Tahar Battikh, avait annoncé la fusion avec les députés de l’UPL, le tout dans un contexte où Nidaa Tounes était traversée par une crise opposant le camp de Mohsen Marzouk à celui de Hafedh Caïd Essebsi.
La réponse des députés de l’UPL était catégorique: ils avaient refusé d’être mêlés à la bataille interne du Nidaa et ont rejeté toute idée de fusion.
Trois mois plus tard, la tension a atteint le niveau supérieur entre les deux partis après que trois députés dissidents du bloc de l’UPL se soient ralliés à celui de Nidaa Tounes. Commentant l’incident, Slim Riahi, président de l’UPL, avait publié un texte polémique sur sa page officielle Facebook où il avait accusé les députés de Nidaa Tounes d’avoir acheté ceux qui ont quitté son bloc.
Pour couronner le tout, Slim Riahi avait accusé l’homme d’affaires Chafik Jarraya, d’être le réel président du mouvement de Nidaa Tounes.
Loin de Nidaa Tounes, l’UPL n’en est pas à sa première tentative de fusion: en avril dernier, le président d’Al Moubadara, Kamel Morjane, avait annoncé que les deux partis menaient des discussions qui allaient aboutir à une fusion. Ce projet n’avait finalement pas eu lieu et aucune explication officielle n’a été annoncée au grand public.
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