Walid Jalled, député du bloc d’Al Horra et dirigeant au sein du Mouvement projet Tunisie (MPT), s’est retiré, samedi dernier, des Journées parlementaires du bloc tenues à Sfax.
Quelques heures plus tard, Jalled a publié un post sur sa page officielle Facebook où il explique sa décision par le fait qu’il ait trouvé l’accélération du processus du changement du nom du bloc suspect et qu’elle survient dans le but de camoufler de plus importantes divergences et failles au sein du mouvement.
Quelques heures plus tard, le député Mustapha Ben Ahmed a publié un statut où il a tenté la subtilité en dénonçant "ceux qui se sont rapprochés des parties (de Nidaa Tounes) qu’ils critiquent et jugent aujourd’hui parce qu’à l’époque, ils voulaient être sur le devant de la scène".
Revenant sur l’affaire lors d’une interview accordée à la radio Shems FM, Walid Jalled a expliqué que Mohsen Marzouk, secrétaire général du MPT, tente de s’accaparer tous les pouvoirs et qu’il veut même avoir un statut supérieur à tous ceux des différentes institutions du parti.
Toujours selon Jalled, le MPT ne compte, à ce jour, aucune adhésion. Le député a fini par indiquer que s’il souhaitait juste faire partie d’un grand mouvement, il n’aurait jamais quitté Nidaa Tounes.
Répondant à ces critiques, le membre du bureau politique du MPT, Mehdi Abdeljawed, a indiqué, dans une déclaration accordée à la TAP, que la réaction des deux députés est illogique et contraire et à la nature de l’action politique. Pour Abdeljawed, le refus du changement du nom du bloc survient dans une tentative de nourrir les différends au sein du parti.
Mettant fin à la polémique, le bloc du MPT a publié un communiqué où il informe que son nom est désormais "bloc du Mouvement Pour la Tunisie, Al Horra". Sahbi Ben Fredj, député du même bloc, a expliqué que dix-neuf députés des vingt-cinq présents ont voté pour ce changement.
Malgré leur refus, les six députés qui n’ont pas accepté la décision ne seront pas bannis du bloc selon l’intéressé.
Quelques heures plus tard, Jalled a publié un post sur sa page officielle Facebook où il explique sa décision par le fait qu’il ait trouvé l’accélération du processus du changement du nom du bloc suspect et qu’elle survient dans le but de camoufler de plus importantes divergences et failles au sein du mouvement.
Quelques heures plus tard, le député Mustapha Ben Ahmed a publié un statut où il a tenté la subtilité en dénonçant "ceux qui se sont rapprochés des parties (de Nidaa Tounes) qu’ils critiquent et jugent aujourd’hui parce qu’à l’époque, ils voulaient être sur le devant de la scène".
Revenant sur l’affaire lors d’une interview accordée à la radio Shems FM, Walid Jalled a expliqué que Mohsen Marzouk, secrétaire général du MPT, tente de s’accaparer tous les pouvoirs et qu’il veut même avoir un statut supérieur à tous ceux des différentes institutions du parti.
Toujours selon Jalled, le MPT ne compte, à ce jour, aucune adhésion. Le député a fini par indiquer que s’il souhaitait juste faire partie d’un grand mouvement, il n’aurait jamais quitté Nidaa Tounes.
Répondant à ces critiques, le membre du bureau politique du MPT, Mehdi Abdeljawed, a indiqué, dans une déclaration accordée à la TAP, que la réaction des deux députés est illogique et contraire et à la nature de l’action politique. Pour Abdeljawed, le refus du changement du nom du bloc survient dans une tentative de nourrir les différends au sein du parti.
Mettant fin à la polémique, le bloc du MPT a publié un communiqué où il informe que son nom est désormais "bloc du Mouvement Pour la Tunisie, Al Horra". Sahbi Ben Fredj, député du même bloc, a expliqué que dix-neuf députés des vingt-cinq présents ont voté pour ce changement.
Malgré leur refus, les six députés qui n’ont pas accepté la décision ne seront pas bannis du bloc selon l’intéressé.
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