PERMACULTURE- C'est un homme qui plante des arbres et il est bien tunisien : il se nomme Hamadi Ben Yahia. Il plante figuiers, dattiers, grenadiers, oliviers... aux frontières désertiques de la Tunisie, et il y arrive très bien. Un projet qu'il a commencé en mai 2016.
L'eau et la terre sont ses deux éléments. Hamadi Ben Yahia est photographe et caméraman sous-marin, scaphandrier également. Quand il quitte l'eau, il s'en va travailler la terre, seul, à Remada, Sud de Tataouine. Il n'avait jamais exercé ce métier avant, mais sa détermination à réaliser son projet fait qu'aujourd'hui, des centaines d'arbres peuplent le Sahara, grâce à son effort.
Pour les amoureux de la terre, les protecteurs de l'environnement, mais aussi pour la culture et la permaculture, la bonne nouvelle, c'est que chacun peut adopter ses propres arbres, et ainsi, contribuer à l'aboutissement de ce projet de rêve, car non seulement le désert se transformera en un champ de verdure et de feuillages, mais tous ceux qui le souhaitent pourraient un jour y passer un séjour.
Son but à lui, c'est de vivifier l'endroit et d'en faire un espace culturel, qui accueillera artistes et intellectuels, au beau milieu des verdures du désert.. Une sorte d'hôtel fait de tentes, pour une pure détente.
C'est la culture qui veillera désormais sur les frontières de la Tunisie. Le bivouac de Hamadi Ben Yahia deviendra le repère idéal pour ceux qui veulent se retirer, se retrouver avec leurs semblables, dans une ambiance des plus spéciales.
L'eau et la terre sont ses deux éléments. Hamadi Ben Yahia est photographe et caméraman sous-marin, scaphandrier également. Quand il quitte l'eau, il s'en va travailler la terre, seul, à Remada, Sud de Tataouine. Il n'avait jamais exercé ce métier avant, mais sa détermination à réaliser son projet fait qu'aujourd'hui, des centaines d'arbres peuplent le Sahara, grâce à son effort.
Pour les amoureux de la terre, les protecteurs de l'environnement, mais aussi pour la culture et la permaculture, la bonne nouvelle, c'est que chacun peut adopter ses propres arbres, et ainsi, contribuer à l'aboutissement de ce projet de rêve, car non seulement le désert se transformera en un champ de verdure et de feuillages, mais tous ceux qui le souhaitent pourraient un jour y passer un séjour.
Son but à lui, c'est de vivifier l'endroit et d'en faire un espace culturel, qui accueillera artistes et intellectuels, au beau milieu des verdures du désert.. Une sorte d'hôtel fait de tentes, pour une pure détente.
C'est la culture qui veillera désormais sur les frontières de la Tunisie. Le bivouac de Hamadi Ben Yahia deviendra le repère idéal pour ceux qui veulent se retirer, se retrouver avec leurs semblables, dans une ambiance des plus spéciales.
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