Plusieurs journalistes ont entamé, mardi, les procédures nécessaires pour engager des poursuites judiciaires contre l’homme d’affaires Chafik Jarraya pour diffamation et incitation de l’opinion publique à se dresser contre les journalistes.
Le lancement de ces poursuites intervient sur fond des propos tenus, dimanche dernier, par l’homme d’affaires Chafik Jarraya qui, sur le plateau de la chaîne de télévision privée Al-Hiwar Attounsi, a avoué avoir acheté la conscience des journalistes.
Selon le journaliste Lassaâd Ben Achour, auteur de cette initiative, au moins 30 journalistes ont rejoint le siège du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) aux fins de préparer les procédures nécessaires pour porter plainte, à titre individuel, contre Chafik Jarraya.
"Ce chiffre est appelé à se multiplier, surtout que plusieurs journalistes ont exprimé leur volonté d’adhérer à cette initiative", a-t-il tenu à préciser.
"Une fois les procédures légales finalisées, l’affaire sera portée vendredi prochain devant la Justice", a-t-il indiqué.
Plusieurs journalistes avaient signé lundi une pétition, dans laquelle ils demandent au Syndicat national des journalistes tunisiens de déposer une plainte auprès du procureur de la République contre les journalistes corrompus sur la base d’un aveu enregistré de corruption fait par Chafik Jarraya.
Un lien a même été mis à la disposition des journalistes afin de pouvoir se joindre à cette initiative sur le site internet du Syndicat.
Dans une déclaration rendue publique lundi, le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a dénoncé les propos tenus, dimanche, par l’homme d’affaires Chafik Jarraya qui, sur le plateau de la chaîne de télévision privée "Al-Hiwar Attounsi", a avoué "avoir acheté la conscience de plusieurs journalistes".
"Cette déclaration représente en soi un aveu explicite de corruption", a estimé le Syndicat, appelant, à cet égard, le ministre de la Justice et le procureur de la République à traduire Chafik Jarraya en justice pour les crimes de corruption qu’il a reconnus.
Le lancement de ces poursuites intervient sur fond des propos tenus, dimanche dernier, par l’homme d’affaires Chafik Jarraya qui, sur le plateau de la chaîne de télévision privée Al-Hiwar Attounsi, a avoué avoir acheté la conscience des journalistes.
Selon le journaliste Lassaâd Ben Achour, auteur de cette initiative, au moins 30 journalistes ont rejoint le siège du Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) aux fins de préparer les procédures nécessaires pour porter plainte, à titre individuel, contre Chafik Jarraya.
"Ce chiffre est appelé à se multiplier, surtout que plusieurs journalistes ont exprimé leur volonté d’adhérer à cette initiative", a-t-il tenu à préciser.
"Une fois les procédures légales finalisées, l’affaire sera portée vendredi prochain devant la Justice", a-t-il indiqué.
Plusieurs journalistes avaient signé lundi une pétition, dans laquelle ils demandent au Syndicat national des journalistes tunisiens de déposer une plainte auprès du procureur de la République contre les journalistes corrompus sur la base d’un aveu enregistré de corruption fait par Chafik Jarraya.
Un lien a même été mis à la disposition des journalistes afin de pouvoir se joindre à cette initiative sur le site internet du Syndicat.
Dans une déclaration rendue publique lundi, le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a dénoncé les propos tenus, dimanche, par l’homme d’affaires Chafik Jarraya qui, sur le plateau de la chaîne de télévision privée "Al-Hiwar Attounsi", a avoué "avoir acheté la conscience de plusieurs journalistes".
"Cette déclaration représente en soi un aveu explicite de corruption", a estimé le Syndicat, appelant, à cet égard, le ministre de la Justice et le procureur de la République à traduire Chafik Jarraya en justice pour les crimes de corruption qu’il a reconnus.
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