Décidément, ces derniers jours, Bizerte est devenue la ville des manifestations d'art insolites.
Après la performance musicale de Lotfi Gharbi au milieu d'un tas d'ordures, c'est au tour de Moncef Benjamaa de se démarquer.
Une exposition, dans un cimetière! C'est l'idée singulière de cet artiste peintre, et "Cri" c'est le nom qu'il lui a donnée.
Moncef Benjamaa s'est dirigé avec ses tableaux, dimanche 30 octobre, vers un cimetière à Bizerte. Là, il expose ses oeuvres, des tableaux à l'image des tracas de l'artiste tunisien et de l'Art en général.
C'est sur les ondes de Mosaique fm que Moncef Benjamaa s'est exprimé. Symbolique, son exposition au milieu des morts veut faire revivre l'art. Les artistes ne sont souvent reconnus que lorsque la mort les rattrape, et puis, se dit-il, peut-être que les morts respecteront et apprécieront l'art puisque les vivants n'ont pas l'air d'y accorder de l'importance.
Après la performance musicale de Lotfi Gharbi au milieu d'un tas d'ordures, c'est au tour de Moncef Benjamaa de se démarquer.
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Une exposition, dans un cimetière! C'est l'idée singulière de cet artiste peintre, et "Cri" c'est le nom qu'il lui a donnée.
Moncef Benjamaa s'est dirigé avec ses tableaux, dimanche 30 octobre, vers un cimetière à Bizerte. Là, il expose ses oeuvres, des tableaux à l'image des tracas de l'artiste tunisien et de l'Art en général.
C'est sur les ondes de Mosaique fm que Moncef Benjamaa s'est exprimé. Symbolique, son exposition au milieu des morts veut faire revivre l'art. Les artistes ne sont souvent reconnus que lorsque la mort les rattrape, et puis, se dit-il, peut-être que les morts respecteront et apprécieront l'art puisque les vivants n'ont pas l'air d'y accorder de l'importance.
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