Un nouveau phénomène musical est entrain d'éclore petit à petit en Tunisie. Un groupe du nom de "PardonMyFrench" est entrain de faire le buzz sur les réseaux sociaux à travers sa musique Electro-pop.
"Né d'un melting culturel entre la retenue british et la légèreté de la french touch, le terme pardon my french , comme nous le percevons, traduit ce je ne sais quoi symbolique de l'attitude frenchy" affirme Balkis Boussetta, chanteuse du groupe au HuffPost Tunisie.
C'est donc derrière le mix entre les influences musicales"british" et "french", que le nom du groupe trouve son explication: "C'est dans nos influences musicales qu'on situe ce mélange des cultures, et qui sont la pop UK ou la scène électronique, ainsi que l'électro française aux paroles -ambiance feutrée, on s'inspire d'artistes tels que David Bowie, Prodigy, James Blake ou encore Disclosure en fusion avec les Daft Punk, Air, Jean Michel jarre, Paradis ou Rone" explique Balkis.
Si Balkis est l'auteure, interprète du groupe, celui-ci se compose de 3 autres membres: Malek Mestiri, batteur,b eatmaker et FX, Rayen Kaboudi à la bass analogue et à la guitare, et Slim Limem à la synthé, à la bass et au back vocal.
Ils se définissent comme des "des électro-artistes", mais la musique n'est pas leur activité principale: "Rayen Kaboudi fait des études commerciales , Slim Limem est ingénieur en informatique industrielle, Malek Mestiri est technicien son et batteur professionnel" affirme Bakis, qui quant à elle poursuit encore ses études à l'université.
L'electro-pop: Un challenge
Si l'electro-pop se propage et connait un grand succès sur la scène internationale, il reste en Tunisie un choix musical osé.
Pour le groupe PardonMyFrench, c'est surtout une question de goût mais pas seulement: "Tout d'abord, on aime la musique électronique" affirme Balkis avant d'ajouter: "Pour nous, c'est un challenge, un défi à relever, vu que ce style est peu répandu en Tunisie. Le style electro-pop nous intéresse particulièrement car c'est une musique ambiante, colorée et riche rythmiquement".
Vivant au rythme des challenges, ce choix permet surtout de pouvoir créer et improviser en live, "un autre défi à relever" affirme l'auteure interprète.
Si pour l'instant, le groupe a mis en avant ses reprises de Disclosure ou encore de Tove Lo, le groupe travaille sur ses compositions: "En ce moment, nous travaillons sur une maquette avec nos compositions en parallèle avec quelques reprises pour démarrer" affirme Balkis.
En voici un petit avant-goût avec leur composition "No cab in town":
Si la musique de PardonMyFrench est pour le moment essentiellement anglophone, il n'empêche qu'il est possible d'entendre des compositions en dialecte tunisien: "Évidemment on y réfléchit. Dès que le projet sera lancé, oui probablement, on est très intéressés. En ce qui concerne les reprises de standards tunisiens, nous pensons plutôt à sortir des remixs, EP ou sets".
La musique les fait vibrer, il n'empêche que le groupe estime que la scène artistique tunisienne est entrain d'évoluer: "on pense qu'il est temps de changer la donne et c'est possible. La scène est entrain d'évoluer, si l'on considère les diverses manifestations culturelles ces deux dernières années, ce qui est plutôt favorable à l'ouverture", affirme Balkis.
De quoi voir plus haut et viser l'international? "Certes nous sommes passionnés avant tout, mais nous travaillons pour emporter notre musique ailleurs, faire valoir nos origines" conclut-elle.
"Né d'un melting culturel entre la retenue british et la légèreté de la french touch, le terme pardon my french , comme nous le percevons, traduit ce je ne sais quoi symbolique de l'attitude frenchy" affirme Balkis Boussetta, chanteuse du groupe au HuffPost Tunisie.
C'est donc derrière le mix entre les influences musicales"british" et "french", que le nom du groupe trouve son explication: "C'est dans nos influences musicales qu'on situe ce mélange des cultures, et qui sont la pop UK ou la scène électronique, ainsi que l'électro française aux paroles -ambiance feutrée, on s'inspire d'artistes tels que David Bowie, Prodigy, James Blake ou encore Disclosure en fusion avec les Daft Punk, Air, Jean Michel jarre, Paradis ou Rone" explique Balkis.
Si Balkis est l'auteure, interprète du groupe, celui-ci se compose de 3 autres membres: Malek Mestiri, batteur,b eatmaker et FX, Rayen Kaboudi à la bass analogue et à la guitare, et Slim Limem à la synthé, à la bass et au back vocal.
Ils se définissent comme des "des électro-artistes", mais la musique n'est pas leur activité principale: "Rayen Kaboudi fait des études commerciales , Slim Limem est ingénieur en informatique industrielle, Malek Mestiri est technicien son et batteur professionnel" affirme Bakis, qui quant à elle poursuit encore ses études à l'université.
L'electro-pop: Un challenge
Si l'electro-pop se propage et connait un grand succès sur la scène internationale, il reste en Tunisie un choix musical osé.
Pour le groupe PardonMyFrench, c'est surtout une question de goût mais pas seulement: "Tout d'abord, on aime la musique électronique" affirme Balkis avant d'ajouter: "Pour nous, c'est un challenge, un défi à relever, vu que ce style est peu répandu en Tunisie. Le style electro-pop nous intéresse particulièrement car c'est une musique ambiante, colorée et riche rythmiquement".
Vivant au rythme des challenges, ce choix permet surtout de pouvoir créer et improviser en live, "un autre défi à relever" affirme l'auteure interprète.
Si pour l'instant, le groupe a mis en avant ses reprises de Disclosure ou encore de Tove Lo, le groupe travaille sur ses compositions: "En ce moment, nous travaillons sur une maquette avec nos compositions en parallèle avec quelques reprises pour démarrer" affirme Balkis.
En voici un petit avant-goût avec leur composition "No cab in town":
Si la musique de PardonMyFrench est pour le moment essentiellement anglophone, il n'empêche qu'il est possible d'entendre des compositions en dialecte tunisien: "Évidemment on y réfléchit. Dès que le projet sera lancé, oui probablement, on est très intéressés. En ce qui concerne les reprises de standards tunisiens, nous pensons plutôt à sortir des remixs, EP ou sets".
La musique les fait vibrer, il n'empêche que le groupe estime que la scène artistique tunisienne est entrain d'évoluer: "on pense qu'il est temps de changer la donne et c'est possible. La scène est entrain d'évoluer, si l'on considère les diverses manifestations culturelles ces deux dernières années, ce qui est plutôt favorable à l'ouverture", affirme Balkis.
De quoi voir plus haut et viser l'international? "Certes nous sommes passionnés avant tout, mais nous travaillons pour emporter notre musique ailleurs, faire valoir nos origines" conclut-elle.
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.