SANTÉ- La grève de la Fédération générale de la Santé relevant de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) qui a eu lieu le 19 mai dans tous les centres hospitaliers du pays (groupements de santé de base, hôpitaux régionaux et hôpitaux universitaires), suite à l'échec des négociations entre les syndicalistes et le ministère de tutelle.
La Fédération précise que les prestations de santé seront assurées, uniquement dans les services d’urgence et d’hospitalisation. Elle rappelle que cette grève générale sectorielle intervient suite à l’échec des négociations avec le ministère de la Santé.
Le bras de fer continue ainsi entre le ministre de la Santé Said Aidi et le syndicat en question. Outre la question du statut juridique de certains membres du personnel médical ou la représentativité des syndicats dans les conseils d'administration, le principal point de discorde demeure la nomination de l’actuel directeur Chokri Tounsi à l’hôpital Habib Bourguiba de Sfax. Ce dernier appartenait au corps militaire. Cette nomination est contestée par les syndicalistes. Le ministère refuse de revenir sur sa décision.
Sofiane Bouraoui, chef du cabinet de Said Aidi justifie ce refus par le souci de préserver l'autorité de l'Etat "Vouloir à tout prix faire plier le ministère de tutelle est inacceptable quand on veut reconquérir l'autorité de l'Etat", a-t-il affirmé dans l'émission 24/7 sur El Hiwar Ettounssi, mercredi 18 mai.
La Fédération précise que les prestations de santé seront assurées, uniquement dans les services d’urgence et d’hospitalisation. Elle rappelle que cette grève générale sectorielle intervient suite à l’échec des négociations avec le ministère de la Santé.
Le bras de fer continue ainsi entre le ministre de la Santé Said Aidi et le syndicat en question. Outre la question du statut juridique de certains membres du personnel médical ou la représentativité des syndicats dans les conseils d'administration, le principal point de discorde demeure la nomination de l’actuel directeur Chokri Tounsi à l’hôpital Habib Bourguiba de Sfax. Ce dernier appartenait au corps militaire. Cette nomination est contestée par les syndicalistes. Le ministère refuse de revenir sur sa décision.
Sofiane Bouraoui, chef du cabinet de Said Aidi justifie ce refus par le souci de préserver l'autorité de l'Etat "Vouloir à tout prix faire plier le ministère de tutelle est inacceptable quand on veut reconquérir l'autorité de l'Etat", a-t-il affirmé dans l'émission 24/7 sur El Hiwar Ettounssi, mercredi 18 mai.
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