Les Tunisiens se sont réveillés avec la nouvelle de l’élection du très controversé candidat Républicain, Donal Trump, au poste de président des Etats-Unis d’Amérique. Si sur les réseaux sociaux, cette nouvelle a suscité une grande vague d’ironie de la part des internautes, du côté des parti politiques et des officiels, les réactions sont plus "diplomatiques".
C’est donc le mouvement d’Ennahdha qui a publié le premier communiqué en relation avec la Présidentielle américaine.
Après avoir félicité le nouveau président, Donald Trump, Ennahdha a appelé la nouvelle administration américaine à continuer à soutenir le peuple et les affaires arabo-musulmanes dans leur quête de paix, de démocratie, de prospérité et de développement.
Le communiqué a de même rappelé que les débats tenus lors de la campagne électorale se sont peu intéressés à la politique américaine étrangère et que cette même politique a toujours été indépendante des différents régimes qui se sont succédé à la tête de l’Etat américain, les institutions étant garantes de cette politique.
Quelques heures plus tard, la présidence de la République tunisienne un publié, à son tour, un communiqué félicitant Donald Trump pour son accession au pouvoir. Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a exprimé la ferme détermination qu’a la Tunisie pour œuvrer à renforcer les liens historiques entre les deux pays. Mettant en valeur le soutien des Etats-Unis d’Amérique à la transition démocratique en Tunisie, le chef de l’Etat a assuré que ces collaborations et ces amitiés continueront à servir l’intérêt des deux nations.
De son côté, l'ancien ambassadeur Taoufik Ouannes a affirmé sur les ondes de la radio Mosaïque que l'élection de Donald Trump n'allait pas avoir d'impact sur la Tunisie: "Je ne pense pas qu'il y ait un changement dans l'appui à la transition démocratique tunisienne parce que la philosophie américaine, qu'elle soit chez les républicains ou les démocrates, c'est avant tout la démocratie".
Selon lui, "le printemps arabe tel que défendu par Obama et Clinton n'a pas été une grande réussite, le seul exemple où l'expérience ne s'est pas encore terminée, c'est la Tunisie, ainsi je ne pense pas (...) qu'il y aura remise en question de cet appui".
Pour Taoufik Ouannes, l'angle à travers lequel l'appui aura lieu sera tout de même différent: "ce sera à travers l'angle de (la lutte contre le) terrorisme et l'entraide militaire qui existe entre la Tunisie et les États-Unis" a t-il affirmé, prédisant: "Un renforcement de cette aide militaire" entre les 2 pays "avec le but de mettre un terme au terrorisme".
C’est donc le mouvement d’Ennahdha qui a publié le premier communiqué en relation avec la Présidentielle américaine.
Après avoir félicité le nouveau président, Donald Trump, Ennahdha a appelé la nouvelle administration américaine à continuer à soutenir le peuple et les affaires arabo-musulmanes dans leur quête de paix, de démocratie, de prospérité et de développement.
Le communiqué a de même rappelé que les débats tenus lors de la campagne électorale se sont peu intéressés à la politique américaine étrangère et que cette même politique a toujours été indépendante des différents régimes qui se sont succédé à la tête de l’Etat américain, les institutions étant garantes de cette politique.
Quelques heures plus tard, la présidence de la République tunisienne un publié, à son tour, un communiqué félicitant Donald Trump pour son accession au pouvoir. Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a exprimé la ferme détermination qu’a la Tunisie pour œuvrer à renforcer les liens historiques entre les deux pays. Mettant en valeur le soutien des Etats-Unis d’Amérique à la transition démocratique en Tunisie, le chef de l’Etat a assuré que ces collaborations et ces amitiés continueront à servir l’intérêt des deux nations.
De son côté, l'ancien ambassadeur Taoufik Ouannes a affirmé sur les ondes de la radio Mosaïque que l'élection de Donald Trump n'allait pas avoir d'impact sur la Tunisie: "Je ne pense pas qu'il y ait un changement dans l'appui à la transition démocratique tunisienne parce que la philosophie américaine, qu'elle soit chez les républicains ou les démocrates, c'est avant tout la démocratie".
Selon lui, "le printemps arabe tel que défendu par Obama et Clinton n'a pas été une grande réussite, le seul exemple où l'expérience ne s'est pas encore terminée, c'est la Tunisie, ainsi je ne pense pas (...) qu'il y aura remise en question de cet appui".
Pour Taoufik Ouannes, l'angle à travers lequel l'appui aura lieu sera tout de même différent: "ce sera à travers l'angle de (la lutte contre le) terrorisme et l'entraide militaire qui existe entre la Tunisie et les États-Unis" a t-il affirmé, prédisant: "Un renforcement de cette aide militaire" entre les 2 pays "avec le but de mettre un terme au terrorisme".
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