Le député du bloc parlementaire du Front populaire et président de la Commission des finances à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP), Mongi Rahoui, était l’invité de Mosaïque FM.
Revenant sur le projet de loi des Finances de 2017, Mongi Rahoui a assuré que, comme toutes les années précédentes, le texte finira par passer au niveau du Parlement après quelques améliorations.
Quant aux différends qui opposent l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) au gouvernement d’union nationale, des divergences liées au même texte, Mongi Rahoui a estimé que les deux parties finiraient par trouver des compromis même à titre officieux. Pour lui, le fait que ce projet de loi puisse tomber au niveau du Parlement représenterait une grande menace qui comporterait un message négatif indiquant une absence de soutien politique à cette même équipe gouvernementale.
"Personnellement, je pense que si jamais ce texte ne passait pas, cela aurait des répercussions sur le plan du développement et de l’investissement. La situation générale du peuple tunisien en serait même affaiblie" a t-il indiqué.
En ce qui concerne la levée du secret bancaire, Mongi Rahoui a estimé que cette mesure ne plaira certainement pas à la majorité parlementaire. Pour lui, tous ceux qui refusent cette mesure utilisent les mêmes arguments que ceux que certains avaient employés à l’époque de Ben Ali. Le président de la Commission des finances a insisté sur l’importance de l’application de cette mesure tout en expliquant que si jamais elle venait à être rejetée par l’ARP, cela reviendrait à dire que la majorité parlementaire travaille contre les intérêts du pays et ceux du peuple.
Pour le député du Front populaire, la Tunisie a besoin d’une loi de Finances capable de provoquer un séisme positif et ce dans le but de relancer la roue économique et sociale.
Rappelons que ce même projet de loi, dans la version présentée par le gouvernement de Youssef Chahed à l’ARP, a provoqué la révolte de plusieurs parties dont l’UGTT, l’UTICA, l’Ordre national des avocats tunisiens et l’Ordre national des médecins tunisiens.
Revenant sur le projet de loi des Finances de 2017, Mongi Rahoui a assuré que, comme toutes les années précédentes, le texte finira par passer au niveau du Parlement après quelques améliorations.
Quant aux différends qui opposent l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) au gouvernement d’union nationale, des divergences liées au même texte, Mongi Rahoui a estimé que les deux parties finiraient par trouver des compromis même à titre officieux. Pour lui, le fait que ce projet de loi puisse tomber au niveau du Parlement représenterait une grande menace qui comporterait un message négatif indiquant une absence de soutien politique à cette même équipe gouvernementale.
"Personnellement, je pense que si jamais ce texte ne passait pas, cela aurait des répercussions sur le plan du développement et de l’investissement. La situation générale du peuple tunisien en serait même affaiblie" a t-il indiqué.
En ce qui concerne la levée du secret bancaire, Mongi Rahoui a estimé que cette mesure ne plaira certainement pas à la majorité parlementaire. Pour lui, tous ceux qui refusent cette mesure utilisent les mêmes arguments que ceux que certains avaient employés à l’époque de Ben Ali. Le président de la Commission des finances a insisté sur l’importance de l’application de cette mesure tout en expliquant que si jamais elle venait à être rejetée par l’ARP, cela reviendrait à dire que la majorité parlementaire travaille contre les intérêts du pays et ceux du peuple.
Pour le député du Front populaire, la Tunisie a besoin d’une loi de Finances capable de provoquer un séisme positif et ce dans le but de relancer la roue économique et sociale.
Rappelons que ce même projet de loi, dans la version présentée par le gouvernement de Youssef Chahed à l’ARP, a provoqué la révolte de plusieurs parties dont l’UGTT, l’UTICA, l’Ordre national des avocats tunisiens et l’Ordre national des médecins tunisiens.
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