Le Salon des Artistes Français est une exposition artistique, qui se tient à Paris chaque année, si l’on excepte quelques interruptions dues aux guerres ou à des travaux. Elle réunit des centaines d'artistes des plus novateurs. Pour l'édition de 2017, "Art Capital", comme s'intitule cette 227 ème Samir Tlatli, artiste tunisien, fera partie de l'aventure.
Ce salon a été créé en 1667 par Colbert. Sous Louis XIV, il portait l'appellation "Académie royale de peinture et de sculpture".
Il perdure et évolue au cours des siècles et s'ouvre aux "créations émergentes". Et c'est au Grand Palais des Champs-Elysées que le salon aura lieu, du 15 au 19 février 2017.
"L’édition 2017 marque une nouvelle étape dans l’évolution du Salon, avec un contenu de haut niveau, fondé sur une sélection exigeante et un souci réaffirmé d’ouverture et de nouveaux projets spéciaux." peut-on lire sur la page officielle de l'événement. Et parmi les artistes sélectionnés, il accueillera le Tunisien Samir Tlatli, "Heureux, et honoré par cette belle reconnaissance." s'exprime-t-il au HuffPost Tunisie.
Artiste pluridisciplinaire
Après des études en hautes études commerciales, et une carrière dans les affaires, Samir Tlatli décide en 2011 de tout laisser derrière lui et de se consacrer à sa passion, l’Image.
Il part à Prague suivre des études en Cinéma à la "Prague Film School". Il se dirige ensuite vers Paris "la ville qui lui fait vivre un quotidien inspiré", là où il intègre l'institut international de photographie professionnelle "Spéos". Il s'y installe ensuite et fleurit dans sa carrière.
Samir Tlatli fait de l'art son métier en travaillant avec des entreprises de renommée mondiale, en tant que spécialiste en image et en identité visuelle pour les besoins de leur communication interne et externe.
En 2016, il complète sa formation dans les prises de vue aérienne et devient officiellement Pilote de Drone Civil, après avoir obtenu le certificat d’aptitude de Pilote d’aéronef ultra léger motorisé, émis par la Direction Générale de l’Aviation Civile française.
Quand il s’agit de ses projets artistiques personnels, il traduit ses émotions en oeuvres d’art.
Ses créations lui valent des participations dans de multiples expositions en Europe, dont la France et la Suisse.
En 2014, il reçoit le 2ème prix de photographie grâce à sa série de photographie " Macrokawa", dans le cadre du concours SCAE World Of Coffee Rimini en Italie.
L'artiste connait aussi le succès grâce à ses court-métrages, dont "Dance of birds", et "World wide words", diffusés dans le cadre du festival de Cannes, successivement en 2013 et 2014.
Il réalise par ailleurs l'émission "Euro Fann" ("Fann" signifiant "Art"), qui dresse à chaque épisode le portrait d'un artiste tunisien, peu connu dans son pays, mais qui réussit ailleurs.
"Il ne faut pas renoncer à ses convictions et ses libertés face à l’intolérance". C'est ainsi que Samir voir les choses et c'est aux libertés individuelles qu'il porte son énergie et ses ferveurs. Ses convictions se reflètent dans ses photographies comme dans ses courts-métrages.
Ce salon a été créé en 1667 par Colbert. Sous Louis XIV, il portait l'appellation "Académie royale de peinture et de sculpture".
Il perdure et évolue au cours des siècles et s'ouvre aux "créations émergentes". Et c'est au Grand Palais des Champs-Elysées que le salon aura lieu, du 15 au 19 février 2017.
"L’édition 2017 marque une nouvelle étape dans l’évolution du Salon, avec un contenu de haut niveau, fondé sur une sélection exigeante et un souci réaffirmé d’ouverture et de nouveaux projets spéciaux." peut-on lire sur la page officielle de l'événement. Et parmi les artistes sélectionnés, il accueillera le Tunisien Samir Tlatli, "Heureux, et honoré par cette belle reconnaissance." s'exprime-t-il au HuffPost Tunisie.
Artiste pluridisciplinaire
Après des études en hautes études commerciales, et une carrière dans les affaires, Samir Tlatli décide en 2011 de tout laisser derrière lui et de se consacrer à sa passion, l’Image.
Il part à Prague suivre des études en Cinéma à la "Prague Film School". Il se dirige ensuite vers Paris "la ville qui lui fait vivre un quotidien inspiré", là où il intègre l'institut international de photographie professionnelle "Spéos". Il s'y installe ensuite et fleurit dans sa carrière.
Samir Tlatli fait de l'art son métier en travaillant avec des entreprises de renommée mondiale, en tant que spécialiste en image et en identité visuelle pour les besoins de leur communication interne et externe.
En 2016, il complète sa formation dans les prises de vue aérienne et devient officiellement Pilote de Drone Civil, après avoir obtenu le certificat d’aptitude de Pilote d’aéronef ultra léger motorisé, émis par la Direction Générale de l’Aviation Civile française.
Quand il s’agit de ses projets artistiques personnels, il traduit ses émotions en oeuvres d’art.
Ses créations lui valent des participations dans de multiples expositions en Europe, dont la France et la Suisse.
En 2014, il reçoit le 2ème prix de photographie grâce à sa série de photographie " Macrokawa", dans le cadre du concours SCAE World Of Coffee Rimini en Italie.
L'artiste connait aussi le succès grâce à ses court-métrages, dont "Dance of birds", et "World wide words", diffusés dans le cadre du festival de Cannes, successivement en 2013 et 2014.
Il réalise par ailleurs l'émission "Euro Fann" ("Fann" signifiant "Art"), qui dresse à chaque épisode le portrait d'un artiste tunisien, peu connu dans son pays, mais qui réussit ailleurs.
"Il ne faut pas renoncer à ses convictions et ses libertés face à l’intolérance". C'est ainsi que Samir voir les choses et c'est aux libertés individuelles qu'il porte son énergie et ses ferveurs. Ses convictions se reflètent dans ses photographies comme dans ses courts-métrages.
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