Les secteurs de l’agriculture et de l’agroalimentaire disposent d’un énorme potentiel et offrent d’importantes opportunités d’investissement, ont souligné mercredi les participants à la conférence sur l’agriculture et les agro-industries organisée dans le cadre de la conférence internationale "Tunisia 2020", tenue au palais des congrès à Tunis.
Témoignant de leurs propres expériences, des responsables d’entreprises étrangères implantées en Tunisie, se sont dits "satisfaits et même ravis" d’avoir investi dans ce pays notamment dans le secteur agricole ou agroalimentaire.
Les secteurs de l’huile d’olive, des dattes, des agrumes, des fruits et légumes, du lait et autres filières sont très prometteurs, selon les intervenants.
"Après quatre ans d’implantation en Tunisie, et dans une conjoncture difficile, je peux affirmer que la Tunisie dispose de ressources humaines qualifiées et d’une main d’œuvre disciplinée", a affirmé Michael Adolph, responsable marketing et ventes au sein de l’entreprise allemande Dr. Oetker active dans le domaine de l’agroalimentaire.
Ce témoignage a été partagé par Duarte Guedes, directeur région Moyen Orient et Afrique du Nord de l’entreprise Sovena (active dans le domaine de l’huile d’olive) qui a déclaré qu’après huit ans d’expérience et d’implantation en Tunisie, le bilan est aujourd’hui positif malgré les défis qui se sont présentés.
"Professionnellement et personnellement, le bilan est gagnant-gagnant", a-t-il estimé soulignant toutefois l’importance de renforcer la formation et de valoriser le secteur biologique qui reste selon lui, sous-exploité.
Pour sa part, Slim Othmani, président directeur général du Groupe algérien "Rouiba" a exprimé le souhait de voir la Tunisie et l’Algérie travailler ensemble dans le cadre de synergies fortes dans différentes filières comme le lait, les dattes, la viniculture, les agrumes…
L’intervenant a plaidé en faveur de l’ouverture totale des frontières entre les deux pays pour faciliter la mobilité surtout que les deux pays sont, selon lui, confrontés aux mêmes défis (secteur informel, désertification, stress hydrique, problème d’autosuffisance alimentaire, problèmes à l’export…)
L’homme d’affaires algérien a aussi, mis l’accent sur l’importance de la digitalisation du secteur de l’agriculture et le renforcement de l’usage des nouvelles technologies.
Témoignant de leurs propres expériences, des responsables d’entreprises étrangères implantées en Tunisie, se sont dits "satisfaits et même ravis" d’avoir investi dans ce pays notamment dans le secteur agricole ou agroalimentaire.
Les secteurs de l’huile d’olive, des dattes, des agrumes, des fruits et légumes, du lait et autres filières sont très prometteurs, selon les intervenants.
"Après quatre ans d’implantation en Tunisie, et dans une conjoncture difficile, je peux affirmer que la Tunisie dispose de ressources humaines qualifiées et d’une main d’œuvre disciplinée", a affirmé Michael Adolph, responsable marketing et ventes au sein de l’entreprise allemande Dr. Oetker active dans le domaine de l’agroalimentaire.
Ce témoignage a été partagé par Duarte Guedes, directeur région Moyen Orient et Afrique du Nord de l’entreprise Sovena (active dans le domaine de l’huile d’olive) qui a déclaré qu’après huit ans d’expérience et d’implantation en Tunisie, le bilan est aujourd’hui positif malgré les défis qui se sont présentés.
"Professionnellement et personnellement, le bilan est gagnant-gagnant", a-t-il estimé soulignant toutefois l’importance de renforcer la formation et de valoriser le secteur biologique qui reste selon lui, sous-exploité.
Pour sa part, Slim Othmani, président directeur général du Groupe algérien "Rouiba" a exprimé le souhait de voir la Tunisie et l’Algérie travailler ensemble dans le cadre de synergies fortes dans différentes filières comme le lait, les dattes, la viniculture, les agrumes…
L’intervenant a plaidé en faveur de l’ouverture totale des frontières entre les deux pays pour faciliter la mobilité surtout que les deux pays sont, selon lui, confrontés aux mêmes défis (secteur informel, désertification, stress hydrique, problème d’autosuffisance alimentaire, problèmes à l’export…)
L’homme d’affaires algérien a aussi, mis l’accent sur l’importance de la digitalisation du secteur de l’agriculture et le renforcement de l’usage des nouvelles technologies.
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