SOCIÉTÉ-Un homme qui t'évince parce qu'il pense qu'une femme ne mérite ce poste, un employeur qui te maltraite parce que tu es son aide ménagère, ton mari qui te viole parce qu'il te considère comme sa chose, une personne qui te dénigre parce que tu cumule la féminité et l'handicap physique, un autre qui t'harcèle sur Facebook à coups de messages suggestifs et d'insultes, etc...Voilà ce que disent des témoignages de jeunes femmes tunisiennes recueillis pour la campagne "Les 16 jours d’activisme contre la violence fondée sur le sexe".
Si la pauvreté, la maltraitance, le viol, le racisme touche les deux sexes, le fait d'être femme est un élément plus emboutissant pour les agresseurs. Les vécus des femmes sont divers dans ce sens, comme illustré dans ces témoignages en vidéos, tirés de faits réels et qui s'inscrivent dans la campagne internationale intitulée "Les 16 jours d’activisme contre la violence fondée sur le sexe" qui commence le 25 novembre, Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, et qui se terminent le 10 décembre, Journée internationale des droits de la personne.
Dans ce cadre également s'inscrit la vidéo de l'ONG OXFAM qui vise à déconstruire les mentalités autour de la violence faite aux femmes. Non la violence n'est pas une fatalité pour les femmes, oui un changement est possible et il passe notamment par l'éducation, c'est sous cette bannière que s'inscrit la vidéo.
Ceci passe, comme le montre la vidéo, par des clichés comme la fille ne doit pas jouer au foot parce que c'est une fille, que c'est la violence est la deuxième nature des garçons, que la femme doit être docile avec son mari "comme tout le monde", qu'une femme agressée, "l'a bien cherché vue ce qu'elle portait", or personne ne cherche la violence...que des idées inculquées dès l'enfance, qui s'ancrent dans la durée et façonnent les comportements des adultes. Non contrariées, elles se banalisent, se conservent, d'où l'appel à briser l'inertie autour de ces violences pour qu'elles ne puissent pas passer inaperçues, et ce à travers l'éducation des enfants ou encore un contre-argument dans une discussion, clame la vidéo d'OXFAM.
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Si la pauvreté, la maltraitance, le viol, le racisme touche les deux sexes, le fait d'être femme est un élément plus emboutissant pour les agresseurs. Les vécus des femmes sont divers dans ce sens, comme illustré dans ces témoignages en vidéos, tirés de faits réels et qui s'inscrivent dans la campagne internationale intitulée "Les 16 jours d’activisme contre la violence fondée sur le sexe" qui commence le 25 novembre, Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, et qui se terminent le 10 décembre, Journée internationale des droits de la personne.
Dans ce cadre également s'inscrit la vidéo de l'ONG OXFAM qui vise à déconstruire les mentalités autour de la violence faite aux femmes. Non la violence n'est pas une fatalité pour les femmes, oui un changement est possible et il passe notamment par l'éducation, c'est sous cette bannière que s'inscrit la vidéo.
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Ceci passe, comme le montre la vidéo, par des clichés comme la fille ne doit pas jouer au foot parce que c'est une fille, que c'est la violence est la deuxième nature des garçons, que la femme doit être docile avec son mari "comme tout le monde", qu'une femme agressée, "l'a bien cherché vue ce qu'elle portait", or personne ne cherche la violence...que des idées inculquées dès l'enfance, qui s'ancrent dans la durée et façonnent les comportements des adultes. Non contrariées, elles se banalisent, se conservent, d'où l'appel à briser l'inertie autour de ces violences pour qu'elles ne puissent pas passer inaperçues, et ce à travers l'éducation des enfants ou encore un contre-argument dans une discussion, clame la vidéo d'OXFAM.
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