INTERNATIONAL - Quatre jours après le crash toujours inexpliqué du vol Paris-Le Caire d'EgyptAir, les recherches se poursuivent en Méditerranée pour localiser les enregistreurs de vol qui aideront peut-être à trancher entre l'accident et l'attentat.
Si les circonstances restent troubles, la lumière se fait petit à petit sur les 66 victimes qui étaient à bord du vol MS804 quand il s'est abîmé en mer Méditerranée dans la nuit de mercredi à jeudi.
Sur les 30 Égyptiens décédés, l'histoire de Reham Ashery et son époux fait notamment le tour des médias étrangers ces derniers jours. Le couple était venu à Paris le mois dernier pour un traitement médical et rentrait chez lui, raconte le Telegraph.
"Je ne veux pas la laisser seule"
Atteinte d'un cancer, Reham espérait trouver dans la capitale française de meilleurs soins qu'en Égypte. Cette dernière avait vendu plusieurs de ses biens pour s'offrir le déplacement et les frais médicaux en France. Son mari soutenait sa démarche et avait décidé de l'accompagner.
"Il voulait faire tout ce qui est possible pour atténuer les souffrances de sa femme et prolonger sa vie", avait-il confié, rapporte NBC News. "Je ne veux pas la laisser seule. Si quelque chose lui arrive, je n'imagine pas comment je pourrais continuer à vivre".
Le couple avait cependant décidé de voyager sans ses trois enfants. Il devait les retrouver ces jours-ci, explique leur établissement scolaire sur Facebook dans un texte précisant qu'il continuera d'accueillir les trois élèves laissés orphelins.
Si les circonstances restent troubles, la lumière se fait petit à petit sur les 66 victimes qui étaient à bord du vol MS804 quand il s'est abîmé en mer Méditerranée dans la nuit de mercredi à jeudi.
Sur les 30 Égyptiens décédés, l'histoire de Reham Ashery et son époux fait notamment le tour des médias étrangers ces derniers jours. Le couple était venu à Paris le mois dernier pour un traitement médical et rentrait chez lui, raconte le Telegraph.
"Je ne veux pas la laisser seule"
Atteinte d'un cancer, Reham espérait trouver dans la capitale française de meilleurs soins qu'en Égypte. Cette dernière avait vendu plusieurs de ses biens pour s'offrir le déplacement et les frais médicaux en France. Son mari soutenait sa démarche et avait décidé de l'accompagner.
"Il voulait faire tout ce qui est possible pour atténuer les souffrances de sa femme et prolonger sa vie", avait-il confié, rapporte NBC News. "Je ne veux pas la laisser seule. Si quelque chose lui arrive, je n'imagine pas comment je pourrais continuer à vivre".
Le couple avait cependant décidé de voyager sans ses trois enfants. Il devait les retrouver ces jours-ci, explique leur établissement scolaire sur Facebook dans un texte précisant qu'il continuera d'accueillir les trois élèves laissés orphelins.
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