"La société pétrolière tuniso-britannique de prospection et d'exploitation énergétique (Petrofac) connaît un arrêt technique suite au blocage des camions-citernes", a déclaré le président directeur général de la société, Imed Derouich, au Huffington Post Tunisie, ce mercredi 14 décembre.
“Malgré tous les efforts déployés par la société civile, le gouvernement et les sociétés pétrolières pour trouver un terrain d’entente, les activités de la société ont été bloquées”, a déploré la ministre de l’Energie, des Mines et des Energies Renouvelables, Héla Cheikhrouhou, dans une déclaration à la TAP.
Petrofac aurait donc décidé d’arrêter ses activités dans le champ gazier de Chargui et de quitter définitivement le pays, selon le correspondant de Shems Fm .
Selon la même source, Petrofac compterait également procéder au licenciement des ouvriers pour mettre fin aux pertes qu’engendre le blocage des camions.
Il est à rappeler qu’un procès verbal avait été signé en septembre dernier avec le gouvernement afin de mettre fin aux protestations et de maintenir en activité la branche de la société britannique établie à Kerkennah.
Petrofac qui avait alors décidé de partir de la Tunisie, après plusieurs mois de protestations et de sit-in, était revenue sur sa décision.
“Malgré tous les efforts déployés par la société civile, le gouvernement et les sociétés pétrolières pour trouver un terrain d’entente, les activités de la société ont été bloquées”, a déploré la ministre de l’Energie, des Mines et des Energies Renouvelables, Héla Cheikhrouhou, dans une déclaration à la TAP.
Petrofac aurait donc décidé d’arrêter ses activités dans le champ gazier de Chargui et de quitter définitivement le pays, selon le correspondant de Shems Fm .
Selon la même source, Petrofac compterait également procéder au licenciement des ouvriers pour mettre fin aux pertes qu’engendre le blocage des camions.
Il est à rappeler qu’un procès verbal avait été signé en septembre dernier avec le gouvernement afin de mettre fin aux protestations et de maintenir en activité la branche de la société britannique établie à Kerkennah.
Petrofac qui avait alors décidé de partir de la Tunisie, après plusieurs mois de protestations et de sit-in, était revenue sur sa décision.
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