"Les barrières de passages à niveau des trains et les dispositifs de signalisation ont été vandalisés et des vols de cuivre ont été commis", a affirmé mercredi le ministre du Transport Anis Ghedira, invitant les citoyens à faire face à ce phénomène qui menace la sécurité des personnes.
Le ministère œuvrera à installer 40 nouvelles barrières électroniques dans les différentes régions et notamment dans les points noirs, pour un coût global avoisinant les 12 millions de dinars, a-t-il fait savoir, alors qu’il visitait, à l’hôpital des grands brûlés de Ben Arous, les blessés de l’accident mortel qui a eu lieu mercredi entre un train et un bus au passage à niveau de Jebel Jeloud.
80% des accidents de la route sont dus à des erreurs humaines, a-t-il encore estimé, soulignant la difficulté d’affecter des contrôleurs au niveau de toutes les intersections, vu l’existence en Tunisie de 1200 barrières automatiques et de 1000 barrières anarchiques.
Ghedira a fait état de la poursuite des opérations de maintenance des chemins de fer, soulignant que la préservation de la sécurité du citoyen dans les différents moyens de transport constitue l’une des priorités de son département.
Il a fait savoir, également, qu’une cellule de crise a été formée, en coordination avec les deux ministères de l’Intérieur et de la Santé, pour l’encadrement des blessés et des familles des victimes, outre la mise en place d’une commission qui prendra en charge le suivi de l’accident et s’attèlera à déterminer les responsabilités.
De son côté le député Abdelaziz El Kotti a appelé les avocats des victimes de l'accident de train à engager personnellement la responsabilité du Président Directeur Général de la Compagnie des chemins de fer ainsi que celle du ministre des Transports Anis Ghedira, indiquant qu'il ne s'agit pas du premier accident de ce genre après ceux d'El Fahs en 2015 et de Borj Cedria en 2016 ayant causé la mort de 21 personnes et fait 98 blessés.
La ministre de la Santé publique, Samira Marai, a précisé, de son côté, que cet accident a causé, dans un premier bilan, 5 personnes sont décédées et 52 blessés, suite à cet accident, dont des enfants dans un état critique, à l’hôpital de Bab Saâdoun.
Elle a souligné que les blessés ont été orientés vers plusieurs établissements hospitaliers, dont l’hôpital de Charles Nicolle, l’hôpital militaire et le Centre de traumatologie et des grands brûlés de Ben Arous, et ce, selon les cas et les natures de blessures.
Dans le même contexte, elle a réitéré l’intervention rapide , sur les lieux, du cadre médical et des services de sécurité.
Le ministère œuvrera à installer 40 nouvelles barrières électroniques dans les différentes régions et notamment dans les points noirs, pour un coût global avoisinant les 12 millions de dinars, a-t-il fait savoir, alors qu’il visitait, à l’hôpital des grands brûlés de Ben Arous, les blessés de l’accident mortel qui a eu lieu mercredi entre un train et un bus au passage à niveau de Jebel Jeloud.
80% des accidents de la route sont dus à des erreurs humaines, a-t-il encore estimé, soulignant la difficulté d’affecter des contrôleurs au niveau de toutes les intersections, vu l’existence en Tunisie de 1200 barrières automatiques et de 1000 barrières anarchiques.
Ghedira a fait état de la poursuite des opérations de maintenance des chemins de fer, soulignant que la préservation de la sécurité du citoyen dans les différents moyens de transport constitue l’une des priorités de son département.
Il a fait savoir, également, qu’une cellule de crise a été formée, en coordination avec les deux ministères de l’Intérieur et de la Santé, pour l’encadrement des blessés et des familles des victimes, outre la mise en place d’une commission qui prendra en charge le suivi de l’accident et s’attèlera à déterminer les responsabilités.
De son côté le député Abdelaziz El Kotti a appelé les avocats des victimes de l'accident de train à engager personnellement la responsabilité du Président Directeur Général de la Compagnie des chemins de fer ainsi que celle du ministre des Transports Anis Ghedira, indiquant qu'il ne s'agit pas du premier accident de ce genre après ceux d'El Fahs en 2015 et de Borj Cedria en 2016 ayant causé la mort de 21 personnes et fait 98 blessés.
La ministre de la Santé publique, Samira Marai, a précisé, de son côté, que cet accident a causé, dans un premier bilan, 5 personnes sont décédées et 52 blessés, suite à cet accident, dont des enfants dans un état critique, à l’hôpital de Bab Saâdoun.
Elle a souligné que les blessés ont été orientés vers plusieurs établissements hospitaliers, dont l’hôpital de Charles Nicolle, l’hôpital militaire et le Centre de traumatologie et des grands brûlés de Ben Arous, et ce, selon les cas et les natures de blessures.
Dans le même contexte, elle a réitéré l’intervention rapide , sur les lieux, du cadre médical et des services de sécurité.
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