Comme chaque année, le magazine américain Forbes dresse son classement des meilleurs et pires pays où faire des affaires. Selon le classement de 2016, la Tunisie se situe à la 87ème place sur les 139 pays, bien derrière le Maroc qui se positionne à la 51ème place.
Deuxième au Maghreb, la Tunisie, qui a reculée de cinq places par rapport à l’année dernière reste devant la Mauritanie (125eme), et l’Algérie (131ème).
D’après ce classement les Etats-Unis d’Amérique sont le 23ème meilleur pays pour faire des affaires, suivie de la France (26ème) et des Emirats Arabes Unis ( 33ème).
A la tête du classement figurent la Suède, la Nouvelle-Zélande et Hong-Kong. Tandis que Haiti, la Gambie et le Tchad
ferment la marche.
Forbes explique que la Tunisie, bien qu’elle représente un exemple de réussite en Afrique et au Moyen-Orient, fait face à de nombreux défis notamment après la révolution du printemps arabe. Le journal économique américain estime que la Tunisie est actuellement confrontée à des multiples challenges tels que rassurer les investisseurs, consolider le système financier du pays, réduire le chômage et limiter les disparités régionales entre les régions côtières et intérieures.
Les attaques terroristes successives qui ont frappé de plein fouet le secteur du tourisme et la vague de grèves au secteur du phosphate ont fragilisé la situation économique du pays laissant le taux de croissance du PIB oscillé au niveau de 1%, précise Forbes.
Deuxième au Maghreb, la Tunisie, qui a reculée de cinq places par rapport à l’année dernière reste devant la Mauritanie (125eme), et l’Algérie (131ème).
D’après ce classement les Etats-Unis d’Amérique sont le 23ème meilleur pays pour faire des affaires, suivie de la France (26ème) et des Emirats Arabes Unis ( 33ème).
A la tête du classement figurent la Suède, la Nouvelle-Zélande et Hong-Kong. Tandis que Haiti, la Gambie et le Tchad
ferment la marche.
Forbes explique que la Tunisie, bien qu’elle représente un exemple de réussite en Afrique et au Moyen-Orient, fait face à de nombreux défis notamment après la révolution du printemps arabe. Le journal économique américain estime que la Tunisie est actuellement confrontée à des multiples challenges tels que rassurer les investisseurs, consolider le système financier du pays, réduire le chômage et limiter les disparités régionales entre les régions côtières et intérieures.
Les attaques terroristes successives qui ont frappé de plein fouet le secteur du tourisme et la vague de grèves au secteur du phosphate ont fragilisé la situation économique du pays laissant le taux de croissance du PIB oscillé au niveau de 1%, précise Forbes.
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