Le niveau moyen de dépenses du Tunisien s’est amélioré de 48,8% pour atteindre 3871 en 2015, contre 2601 dinars en 2010, la part du lion de ces dépenses revenant à celles réservées au logement qui sont passées à 1030 dinars contre 635 dinars durant cette période, soit de 24, 4% à 26, 6%, a fait savoir le directeur général de l’Institut national de la statistique (INS) Hédi Saidi.
La part de ces dépenses consacrée à la santé, l’hygiène et les soins personnels s’est établie à 9,4% contre 8,8% en 2010, outre une hausse légère de la part des dépenses dédiées à l’enseignement et l’éducation de 2,1%, à 2,2%, a-t-il dit, lors d’une conférence de presse, tenue vendredi, sur les résultats de l’enquête nationale sur la consommation et le niveau de vie de la famille en 2015.
Idem pour la part des dépenses dédiées au transport et aux vacances, restauration et café qui passent à respectivement 9,3% et 4% contre 9% et 3,2% auparavant.
Par contre, les dépenses moyennes du Tunisien consacrées à l’alimentation, à l’habillement, aux loisirs et à la culture ont baissé en 2015 à respectivement 28,9%, 7,6% et 1,1% contre respectivement 29,3%, 8,6% et 1,4% en 2010.
Les dépenses du transport ont pour leur part augmenté de 9% à 9,3% , alors que celles réservées à l’ameublement et l’électroménager ont décru pour ne représenter que 3,7% des dépenses en 2015 contre 4,5% en 2010. Viennent ensuite les dépenses pour les télécommunications qui ont baissé pour passer de 5,4% à 4,4%.
L’étude révèle une évolution du mode de consommation alimentaire du Tunisien et son intérêt pour la consommation des légumes, des fruits, du lait et ses dérivés ainsi que certaines viandes contre la régression de la consommation des céréales.
Le tunisien a consommé environ 80,8 kg de fruits en 2015, 85,3 kg de légumes frais, 32,5 kg de viandes et 186,6 œufs.
La moyenne de la consommation de céréales a régressé de 180,7 kg en 2010 à 174 kg en 2015. Quant à la consommation des poissons, elle est passée de 9,7 kg à 8,5 kg et celle de la viande ovine a dégringolé de 9,4 kg à 7,1 kg au cours de la même période.
Les résultats ont montré que la classe sociale aisée adhère davantage aux fonds sociaux, soit une adhésion de 40,3% en comparaison avec la catégorie pauvre, dont le taux est de 19%.
Le taux d’adhésion à la couverture sanitaire ne diffère pas entre la catégorie pauvre (18,1%) et la catégorie au-dessus du seuil de pauvreté (16,5%).
La part de ces dépenses consacrée à la santé, l’hygiène et les soins personnels s’est établie à 9,4% contre 8,8% en 2010, outre une hausse légère de la part des dépenses dédiées à l’enseignement et l’éducation de 2,1%, à 2,2%, a-t-il dit, lors d’une conférence de presse, tenue vendredi, sur les résultats de l’enquête nationale sur la consommation et le niveau de vie de la famille en 2015.
Idem pour la part des dépenses dédiées au transport et aux vacances, restauration et café qui passent à respectivement 9,3% et 4% contre 9% et 3,2% auparavant.
Par contre, les dépenses moyennes du Tunisien consacrées à l’alimentation, à l’habillement, aux loisirs et à la culture ont baissé en 2015 à respectivement 28,9%, 7,6% et 1,1% contre respectivement 29,3%, 8,6% et 1,4% en 2010.
Les dépenses du transport ont pour leur part augmenté de 9% à 9,3% , alors que celles réservées à l’ameublement et l’électroménager ont décru pour ne représenter que 3,7% des dépenses en 2015 contre 4,5% en 2010. Viennent ensuite les dépenses pour les télécommunications qui ont baissé pour passer de 5,4% à 4,4%.
L’étude révèle une évolution du mode de consommation alimentaire du Tunisien et son intérêt pour la consommation des légumes, des fruits, du lait et ses dérivés ainsi que certaines viandes contre la régression de la consommation des céréales.
Le tunisien a consommé environ 80,8 kg de fruits en 2015, 85,3 kg de légumes frais, 32,5 kg de viandes et 186,6 œufs.
La moyenne de la consommation de céréales a régressé de 180,7 kg en 2010 à 174 kg en 2015. Quant à la consommation des poissons, elle est passée de 9,7 kg à 8,5 kg et celle de la viande ovine a dégringolé de 9,4 kg à 7,1 kg au cours de la même période.
Les résultats ont montré que la classe sociale aisée adhère davantage aux fonds sociaux, soit une adhésion de 40,3% en comparaison avec la catégorie pauvre, dont le taux est de 19%.
Le taux d’adhésion à la couverture sanitaire ne diffère pas entre la catégorie pauvre (18,1%) et la catégorie au-dessus du seuil de pauvreté (16,5%).
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