TERRORISME - Le groupe jihadiste État islamique a revendiqué l'attentat perpétré dans la nuit du samedi 31 décembre au dimanche 1er janvier, dans une discothèque d'Istanbul, qui a fait au moins 39 morts et 65 blessés.
"Un soldat héroïque du califat a frappé l'une des plus célèbres boîtes de nuit où les chrétiens célébraient leur fête d'apostats", a indiqué l'organisation terroriste dans un communiqué.
Les autorités turques estimaient déjà, lundi matin, que l'assaillant était lié au groupe Etat islamique et qu'il pourrait être d'Asie centrale, selon le quotidien Hürriyet. Sans citer de source, le journal affirmait que le terroriste pourrait être kirghize ou ouzbek.
Un lien avec l'attaque de l'aéroport d'Atatürk?
Les enquêteurs estiment possible qu'il soit lié à la cellule qui a commis le triple attentat-suicide de l'aéroport d'Istanbul qui a fait 47 morts en juin, imputé à l'EI, poursuit Hürriyet.
La quotidien ajoute que les services de police et de renseignement ont reçu des informations concernant le risque d'une attaque de l'EI le soir du Nouvel An dans plusieurs villes de Turquie. De nombreuses arrestations et perquisitions ont ainsi eu lieu tout au long du mois de décembre pour tenter de prévenir un tel attentat.
"Un soldat héroïque du califat a frappé l'une des plus célèbres boîtes de nuit où les chrétiens célébraient leur fête d'apostats", a indiqué l'organisation terroriste dans un communiqué.
Enfin, on le répète, la #Reina n'a toujours pas été revendiqué. D'ici à ce qu'il le soit : prudence dans les analyses.
— Laura-Maï Gaveriaux (@lmgaveriaux) 2 janvier 2017
Les autorités turques estimaient déjà, lundi matin, que l'assaillant était lié au groupe Etat islamique et qu'il pourrait être d'Asie centrale, selon le quotidien Hürriyet. Sans citer de source, le journal affirmait que le terroriste pourrait être kirghize ou ouzbek.
Un lien avec l'attaque de l'aéroport d'Atatürk?
Les enquêteurs estiment possible qu'il soit lié à la cellule qui a commis le triple attentat-suicide de l'aéroport d'Istanbul qui a fait 47 morts en juin, imputé à l'EI, poursuit Hürriyet.
La quotidien ajoute que les services de police et de renseignement ont reçu des informations concernant le risque d'une attaque de l'EI le soir du Nouvel An dans plusieurs villes de Turquie. De nombreuses arrestations et perquisitions ont ainsi eu lieu tout au long du mois de décembre pour tenter de prévenir un tel attentat.
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