L'excès de vitesse du bus a été la cause directe de l’accident de train survenu à Jbel Jloud le 28 décembre dernier faisant 5 morts et plusieurs blessés, révèle le ministère du Transport dans un communiqué rendu public ce mercredi 4 janvier 2017. “Le chauffeur de bus est le responsable direct de cet accident”, affirme le communiqué.
D’après les résultats de l’enquête, ce dernier roulait à une vitesse inadaptée à l’état de la route et du passage à niveau. Le chauffeur n’a pas respecté les signalisations et n’a pas fait attention au signal lumineux et sonore du train, ajoute la même source.
L’enquête a démontré, par ailleurs, que les signalisations et les barrières du passage à niveau n’étaient pas opérationnelles au moment du drame. Elles étaient en panne depuis plus de 20 jours auparavant. Mais cet élément n’est pas la cause directe de l’accident, souligne le communiqué.
L'enquête a dévoilé, aussi, un manque de coopération entre la Société des chemins de fer tunisiens (SNCFT) et la Société régionale de transport de Nabeul qui auraient dû communiquer sur les horaires de passages de ses bus afin que la SNCFT puisse prévoir de placer un employé au passage à niveau en remplacement des signalisations. “De ce fait, les mesures exceptionnelles prises par la SNCFT, jugées insuffisantes, ont contribué indirectement au drame” précise le communiqué.
Rappelons que le ministère du Transport a pris une batterie de mesures au lendemain de l’accident. Parmi ces mesures figurent la réalisation d’un inventaire et d’un diagnostic à propos de la validité des équipements des passages à niveau, la mise en place d’un agent de sécurité en permanence au niveau de tous les croisements dangereux et non équipés dans les zones urbaines.
Le ministère a, par ailleurs, limogé la PDG de la SNCFT, Sabiha Derbel, ainsi que plusieurs cadres de la société, et a nommé Sarra Rejeb à la tête de ladite société.
D’après les résultats de l’enquête, ce dernier roulait à une vitesse inadaptée à l’état de la route et du passage à niveau. Le chauffeur n’a pas respecté les signalisations et n’a pas fait attention au signal lumineux et sonore du train, ajoute la même source.
L’enquête a démontré, par ailleurs, que les signalisations et les barrières du passage à niveau n’étaient pas opérationnelles au moment du drame. Elles étaient en panne depuis plus de 20 jours auparavant. Mais cet élément n’est pas la cause directe de l’accident, souligne le communiqué.
L'enquête a dévoilé, aussi, un manque de coopération entre la Société des chemins de fer tunisiens (SNCFT) et la Société régionale de transport de Nabeul qui auraient dû communiquer sur les horaires de passages de ses bus afin que la SNCFT puisse prévoir de placer un employé au passage à niveau en remplacement des signalisations. “De ce fait, les mesures exceptionnelles prises par la SNCFT, jugées insuffisantes, ont contribué indirectement au drame” précise le communiqué.
Rappelons que le ministère du Transport a pris une batterie de mesures au lendemain de l’accident. Parmi ces mesures figurent la réalisation d’un inventaire et d’un diagnostic à propos de la validité des équipements des passages à niveau, la mise en place d’un agent de sécurité en permanence au niveau de tous les croisements dangereux et non équipés dans les zones urbaines.
Le ministère a, par ailleurs, limogé la PDG de la SNCFT, Sabiha Derbel, ainsi que plusieurs cadres de la société, et a nommé Sarra Rejeb à la tête de ladite société.
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