Au moins 17 personnes, dont 9 policiers, ont été tuées lundi 9 janvier dans une attaque au camion piégé au niveau d'un barrage de sécurité dans la péninsule égyptienne du Sinaï, a rapporté Radio France Internationale.
Une dizaine de personnes, dont des civiles, ont également été blessées suite à cette attaque.
Plus tôt dans la journée, un bilan provisoire rapporté par l'AFP faisait état d'au moins huit policiers tués.
"Un kamikaze a foncé avec son camion rempli d'explosifs sur un barrage de sécurité dans la ville d'Al-Arish dans le nord du Sinaï et des hommes ont ensuite ouvert le feu sur les policiers", ont indiqué des responsables de la police.
Le quotidien d'Etat al-Ahram a également fait état dans sa version électronique de huit blessés dans l'attaque.
De très nombreuses attaques visant l'armée et la police ont été commises dans le passé à Al-Arish et ses environs et ont été régulièrement revendiqués par Province du Sinaï, la branche égyptienne du groupe extrémiste Etat islamique (EI).
Des centaines de policiers et soldats ont péri dans ces attentats, selon le gouvernement.
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi qui a destitué, alors qu'il était chef de l'armée son prédécesseur islamiste Mohamed Morsi en 2013, mène une sanglante répression contre toute opposition en Egypte, islamiste ou laïque.
Une dizaine de personnes, dont des civiles, ont également été blessées suite à cette attaque.
Plus tôt dans la journée, un bilan provisoire rapporté par l'AFP faisait état d'au moins huit policiers tués.
"Un kamikaze a foncé avec son camion rempli d'explosifs sur un barrage de sécurité dans la ville d'Al-Arish dans le nord du Sinaï et des hommes ont ensuite ouvert le feu sur les policiers", ont indiqué des responsables de la police.
Le quotidien d'Etat al-Ahram a également fait état dans sa version électronique de huit blessés dans l'attaque.
De très nombreuses attaques visant l'armée et la police ont été commises dans le passé à Al-Arish et ses environs et ont été régulièrement revendiqués par Province du Sinaï, la branche égyptienne du groupe extrémiste Etat islamique (EI).
Des centaines de policiers et soldats ont péri dans ces attentats, selon le gouvernement.
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi qui a destitué, alors qu'il était chef de l'armée son prédécesseur islamiste Mohamed Morsi en 2013, mène une sanglante répression contre toute opposition en Egypte, islamiste ou laïque.
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