Le dirigeant du Front Populaire, Hamma Hammami, a accusé, dans une interview accordée à mosaïque Fm en ce lundi 9 janvier 2017, le mouvement Ennahdha d’être relativement impliqué dans le départ des jeunes pour le Jihad en Syrie. Il a expliqué qu’à l’époque de la Troïka, Ennahdha et ses dirigeants ont ouvertement encouragé la jeunesse tunisienne à partir dans les zones de conflit
Hammami a pointé du doigt des dirigeants d’Ennahdha et appelé à condamner tous ceux qui sont impliqués dans le recrutement de ces jeunes et leur polarisation pour qu’ils participent à des conflits armés. Il a appelé, par ailleurs, le ministère de l’Intérieur à démasquer les circonstances et les réseaux d’envoi de jeunes en Syrie, tout en mettant en doute une réelle volonté politique pour clôturer ce dossier . “Mais y’a-t-il vraiment une volonté politique pour dévoiler la vérité?,” s’est-il demandé en notant que cette situation n’est pas le fruit du hasard mais faisant plutôt partie d’une stratégie internationale. “Après avoir bénéficié d’eux, il est temps de les rendre,” a-t-il indiqué en faisant allusion au retour des terroristes vers la Tunisie des zones de tension.
“Rached Ghannouchi et Béji Caïd Essebsi sont à l’origine de tous les maux du pays,”a indiqué Hammami en arguant que ces derniers ont mené, chacun, une campagne électorale différente pour “gouverner par la suite main dans la main”. “En deux ans, ils ont fait tous ces malheurs, que dire pour les autres années à venir,” a-t-il dit.
Le dirigeant du Front a accusé, d’autre part, Béji Caïd Essebsi d’avoir trahi ses électeurs en s’alliant avec Ennahdha. Il a estimé, par ailleurs, que malgré la divergence des positions et des attitudes notamment lors des commissions parlementaires, ces deux partis se rejoignent au vote. “Pour nous, il n’y a pas de différence entre Nidaa Tounes et Ennahdha,”a-t-il dit en ajoutant que cette entente est au détriment du pays et ne servent que leurs propres intérêts partisans.
“La Troïka, le mouvement Ennahdha et le CPR, plus spécialement, ont poussé et encouragé ouvertement les jeunes à partir combattre en Syrie,a-t-il martelé.
Hammami a pointé du doigt des dirigeants d’Ennahdha et appelé à condamner tous ceux qui sont impliqués dans le recrutement de ces jeunes et leur polarisation pour qu’ils participent à des conflits armés. Il a appelé, par ailleurs, le ministère de l’Intérieur à démasquer les circonstances et les réseaux d’envoi de jeunes en Syrie, tout en mettant en doute une réelle volonté politique pour clôturer ce dossier . “Mais y’a-t-il vraiment une volonté politique pour dévoiler la vérité?,” s’est-il demandé en notant que cette situation n’est pas le fruit du hasard mais faisant plutôt partie d’une stratégie internationale. “Après avoir bénéficié d’eux, il est temps de les rendre,” a-t-il indiqué en faisant allusion au retour des terroristes vers la Tunisie des zones de tension.
A lire aussi: Pour le Front populaire, la restauration des relations avec la Syrie pourrait être une solution face au retour des jihadistes en Tunisie
“Rached Ghannouchi et Béji Caïd Essebsi sont à l’origine de tous les maux du pays,”a indiqué Hammami en arguant que ces derniers ont mené, chacun, une campagne électorale différente pour “gouverner par la suite main dans la main”. “En deux ans, ils ont fait tous ces malheurs, que dire pour les autres années à venir,” a-t-il dit.
Le dirigeant du Front a accusé, d’autre part, Béji Caïd Essebsi d’avoir trahi ses électeurs en s’alliant avec Ennahdha. Il a estimé, par ailleurs, que malgré la divergence des positions et des attitudes notamment lors des commissions parlementaires, ces deux partis se rejoignent au vote. “Pour nous, il n’y a pas de différence entre Nidaa Tounes et Ennahdha,”a-t-il dit en ajoutant que cette entente est au détriment du pays et ne servent que leurs propres intérêts partisans.
A lire aussi: Hamma Hammami à propos des dernières déclarations de Rached Ghannouchi: "Il prend les Tunisiens pour des idiots"
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.