Le fondateur du parti Al Jomhouri (ancien parti démocratique progressiste), Ahmed Néjib Chebbi a annoncé, hier, son nouveau projet politique qui portera le nom de "Nouveau mouvement démocratique". Intervenant sur les ondes de la radio Diwan FM, Néjib Chebbi a déclaré qu’un document sera rendu public la semaine prochaine. Il contiendra les détails de cette initiative ainsi que ses étapes préparatoires. Il a, aussi, lancé un appel à tous ceux qui se sentent intéressés par ce projet à se joindre à lui dans cette nouvelle aventure.
Interrogé sur la prochaine élection présidentielle qui aura lieu en 2019, Ahmed Néjib Chebbi a expliqué qu’il existe une condition valable pour toutes les parties prenantes pour que la Tunisie réussisse à atteindre ses prochaines échéances électorales. Evoquant la question sécuritaire, Néjib Chebbi a insisté sur les menaces terroristes qui persistent encore relevant, toutefois, les dernières réussites sécuritaires qu’a connues le pays.
Revenant sur les protestations sociales que connaissent certaines régions de la République, le fondateur d’Al Jomhouri a indiqué que ces mouvements témoignent de l’absence de stabilité et de paix sociale causée, entre autres, par le non-aboutissement à un réel accord et une vraie harmonie entre la centrale syndicale et l’organisation patronale.
Ahmed Néjib Chebbi a aussi évoqué les difficultés que l’on rencontre dans la mise en place des institutions constitutionnelles en évoquant l’exemple du Conseil supérieur de la magistrature dont les problèmes de mise en place retardent l’avènement de la Cour constitutionnelle.
En ce qui concerne la cohabitation entre Ennahdha et Nidaa Tounes, Ahmed Néjib Chebbi a considéré que si jamais ces deux entités politiques venaient à s’allier pour se présenter sur des listes communes lors des prochaines élections, cela représenterait un coup fatal pour la démocratie en Tunisie. Pour lui, une telle manœuvre ne viserait, en réalité, qu’à un partage de pouvoir entre les dirigeants des deux mouvements.
De son côté, le parti Al Jomhouri se prépare à organiser son sixième congrès qui devrait se tenir les 3, 4 et 5 février prochain. Lors d’une déclaration à l’agence TAP, Issam Chebbi a déclaré que l’ouverture dudit congrès aura lieu le 3 février au Palais des congrès à Tunis. Maya Jeribi, actuelle secrétaire-générale du parti, assurerait elle-même le coup d’envoi du congrès auquel prendront part plus de quatre-cent militants provenant de toutes les régions de la République, a-t-il annoncé.
Interrogé sur la prochaine élection présidentielle qui aura lieu en 2019, Ahmed Néjib Chebbi a expliqué qu’il existe une condition valable pour toutes les parties prenantes pour que la Tunisie réussisse à atteindre ses prochaines échéances électorales. Evoquant la question sécuritaire, Néjib Chebbi a insisté sur les menaces terroristes qui persistent encore relevant, toutefois, les dernières réussites sécuritaires qu’a connues le pays.
Revenant sur les protestations sociales que connaissent certaines régions de la République, le fondateur d’Al Jomhouri a indiqué que ces mouvements témoignent de l’absence de stabilité et de paix sociale causée, entre autres, par le non-aboutissement à un réel accord et une vraie harmonie entre la centrale syndicale et l’organisation patronale.
Ahmed Néjib Chebbi a aussi évoqué les difficultés que l’on rencontre dans la mise en place des institutions constitutionnelles en évoquant l’exemple du Conseil supérieur de la magistrature dont les problèmes de mise en place retardent l’avènement de la Cour constitutionnelle.
En ce qui concerne la cohabitation entre Ennahdha et Nidaa Tounes, Ahmed Néjib Chebbi a considéré que si jamais ces deux entités politiques venaient à s’allier pour se présenter sur des listes communes lors des prochaines élections, cela représenterait un coup fatal pour la démocratie en Tunisie. Pour lui, une telle manœuvre ne viserait, en réalité, qu’à un partage de pouvoir entre les dirigeants des deux mouvements.
De son côté, le parti Al Jomhouri se prépare à organiser son sixième congrès qui devrait se tenir les 3, 4 et 5 février prochain. Lors d’une déclaration à l’agence TAP, Issam Chebbi a déclaré que l’ouverture dudit congrès aura lieu le 3 février au Palais des congrès à Tunis. Maya Jeribi, actuelle secrétaire-générale du parti, assurerait elle-même le coup d’envoi du congrès auquel prendront part plus de quatre-cent militants provenant de toutes les régions de la République, a-t-il annoncé.
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