INTERNATIONAL - Il ne s'est jamais privé de dire tout le mal qu'il pensait de l'Obamacare. Vendredi 20 janvier, quelques heures après son investiture, Donald Trump, nouveau président des Etats-Unis, a signé un premier décret contre l'emblématique loi de son prédécesseur, engageant la politique de rupture présentée plus tôt au monde dans un discours aux accents populistes et nationalistes.
Après sa prestation de serment et son discours au Capitole en milieu de journée, il a assisté au défilé traditionnel suivant l'investiture des présidents américains, puis a rapidement signé son premier décret en début de soirée, dans le Bureau ovale.
Il y ordonne à son administration d'accorder le plus d'exemptions possibles à la réforme du système de santé de 2010, détestée des conservateurs pour son coût et sa lourdeur, en attendant son abrogation par le Congrès.
Arrivé à la Maison Blanche en fin d'après-midi, l'homme d'affaires républicain de 70 ans succède à la tête de la première puissance mondiale au démocrate Barack Obama, 55 ans, sous le regard inquiet des alliés des Etats-Unis.
Avant de dormir pour la première fois à la Maison Blanche,Donald Trump devait encore participer à trois grands bals dans la capitale fédérale.
Quelques heures plus tôt, main gauche sur la Bible, main droite levée, le magnat de l'immobilier, qui arrive au pouvoir sans la moindre expérience politique, diplomatique ou militaire, avait prêté serment en plein air, sur les marches du Capitole.
Après sa prestation de serment et son discours au Capitole en milieu de journée, il a assisté au défilé traditionnel suivant l'investiture des présidents américains, puis a rapidement signé son premier décret en début de soirée, dans le Bureau ovale.
#Obamacare : Après avoir prêté serment, Donald #Trump a signé son premier décret contre la loi sur la santé pic.twitter.com/DTfx898VMW
— Geoffrey Henriot (@HenriotGeoffrey) 21 janvier 2017
Signing documents to allow Mattis and Kelly to be sworn into Cabinet and an executive order on #Obamacare. https://t.co/zg3WP9w8xC pic.twitter.com/OMOGLTkCDA
— President Trump (@POTUS) 21 janvier 2017
Il y ordonne à son administration d'accorder le plus d'exemptions possibles à la réforme du système de santé de 2010, détestée des conservateurs pour son coût et sa lourdeur, en attendant son abrogation par le Congrès.
Arrivé à la Maison Blanche en fin d'après-midi, l'homme d'affaires républicain de 70 ans succède à la tête de la première puissance mondiale au démocrate Barack Obama, 55 ans, sous le regard inquiet des alliés des Etats-Unis.
Avant de dormir pour la première fois à la Maison Blanche,Donald Trump devait encore participer à trois grands bals dans la capitale fédérale.
Quelques heures plus tôt, main gauche sur la Bible, main droite levée, le magnat de l'immobilier, qui arrive au pouvoir sans la moindre expérience politique, diplomatique ou militaire, avait prêté serment en plein air, sur les marches du Capitole.
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