La Tunisie arrive à la 77ème sur 118 pays étudiés en matière de compétitivité et talents selon l’indice 2017 de la Compétitivité et Talents (GTCI) publié par le “Business School for the World, l’ "ADECCO Group” et le” human capital leadership institute”.
Le nombre total de variables retenus cette année pour évaluer la capacité des pays à attirer des talents est passé de 61 à 65 indicateurs. La couverture par pays est passée de 109 à 118 pays, représentant 97,3% du PIB mondial et environ 88,7% de la population.
Avec un score de 40.09, la Tunisie se trouve cette année à la 77ème place, soit le premier pays Maghrébin du classement et 15ème au niveau régional (MENA), mais qui reste très en retard par rapport à d’autres pays arabes tels que le Qatar, les Emirats Arabes Unis, le Bahrein, le Koweit, la Jordanie, ou encore le Sultanat d'Oman.
Les pays Européens en tête du peloton
Les pays développés à haut revenu dominent le classement annuel de l’indice 2017 de la Compétitivité et Talents. D’ailleurs une forte corrélation entre le PIB et le GTCI est contemplée par les auteurs du rapport.
Les pays européens continuent de dominer le classement GTCI, dont 16 dans le top 25. La Suisse maintient sa position de leader suivie du Singapour. Cette année, le GTCI voit trois pays non Européens se classer parmi les 10 premiers, soit: le Singapour, les États-Unis et l'Australie. Six autres pays non européens font leur rentrée dans le top 25 dont le Canada, la Nouvelle-Zélande, les Emirats Arabes Unis, le Qatar, le Japon et Israël.
L'Indice de compétitivité mondiale des talents (GTCI) de l'année dernière portait sur la mobilité internationale des talents. Dans le contexte de la migration, il a évalué les avantages sociaux et économiques de l'attraction des talents qualifiés ainsi que l'importance croissante de la "circulation des cerveaux". Cette année GTCI a tenté d’approfondir son étude en introduisant le changement technologique, un déterminant qui a affecté la compétitivité des talents et a engendré une "transmutation radicale" dans la nature même du travail.
Le modèle inclut désormais un sous-pilier "Employabilité" dans le volet "Compétences professionnelles et techniques" du volet "produits" qui mesure l'ampleur des écarts de compétences et des disparités dans le marché du travail dans chaque pays.
Le nombre total de variables retenus cette année pour évaluer la capacité des pays à attirer des talents est passé de 61 à 65 indicateurs. La couverture par pays est passée de 109 à 118 pays, représentant 97,3% du PIB mondial et environ 88,7% de la population.
Avec un score de 40.09, la Tunisie se trouve cette année à la 77ème place, soit le premier pays Maghrébin du classement et 15ème au niveau régional (MENA), mais qui reste très en retard par rapport à d’autres pays arabes tels que le Qatar, les Emirats Arabes Unis, le Bahrein, le Koweit, la Jordanie, ou encore le Sultanat d'Oman.
Les pays Européens en tête du peloton
Les pays développés à haut revenu dominent le classement annuel de l’indice 2017 de la Compétitivité et Talents. D’ailleurs une forte corrélation entre le PIB et le GTCI est contemplée par les auteurs du rapport.
Les pays européens continuent de dominer le classement GTCI, dont 16 dans le top 25. La Suisse maintient sa position de leader suivie du Singapour. Cette année, le GTCI voit trois pays non Européens se classer parmi les 10 premiers, soit: le Singapour, les États-Unis et l'Australie. Six autres pays non européens font leur rentrée dans le top 25 dont le Canada, la Nouvelle-Zélande, les Emirats Arabes Unis, le Qatar, le Japon et Israël.
L'Indice de compétitivité mondiale des talents (GTCI) de l'année dernière portait sur la mobilité internationale des talents. Dans le contexte de la migration, il a évalué les avantages sociaux et économiques de l'attraction des talents qualifiés ainsi que l'importance croissante de la "circulation des cerveaux". Cette année GTCI a tenté d’approfondir son étude en introduisant le changement technologique, un déterminant qui a affecté la compétitivité des talents et a engendré une "transmutation radicale" dans la nature même du travail.
Le modèle inclut désormais un sous-pilier "Employabilité" dans le volet "Compétences professionnelles et techniques" du volet "produits" qui mesure l'ampleur des écarts de compétences et des disparités dans le marché du travail dans chaque pays.
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