Le ministre de la Fonction publique et de la gouvernance Abid Briki a déclaré, mercredi, lors de la clôture de la conférence national sur “La réforme du système de la sécurité sociale: de l’encadrement aux droits”, que le principe du concours sera adopté dans le recrutement des hauts fonctionnaires, estimant, que l’absence d’un système de motivation dans la promotion au sein de la fonction publique lui a fait perdre son attractivité.
La majorités des réformes prévues dans la loi de la fonction publique a pour objectif de garantir l’égalité des chances, a souligné Abid Briki en révélant qu’une dynamique sera instaurée au sein de la fonction publique afin d’ouvrir des perspectives pour les compétences.
Cette dynamique consiste à faciliter la mobilité des fonctionnaires entre les ministères, a précisé Briki, indiquant que “la mobilité sera aussi possible entre le secteur public et privé avec l’alternative pour le fonctionnaire de reprendre sa fonction initiale si le détachement ne dépasse pas les 5 ans”.
Parmi les réformes, le prolongement de l’autorisation du congé pour la création de projets de 5 ans avec la maintien de la moitié du salaire dans le cas où la création du projet est prévu dans les régions intérieures, a-t-il encore ajouté.
S’agissant de la retraite anticipée dans la fonction publique, une proposition stipulant que le postulant à la retraite avant 55 ans peut bénéficier de deux ans de salaire avec la possibilité d’obtenir un crédit bancaire pour la création d’un projet
Concernant la retraite anticipée à l’âge de 57 ans, Briki a fait savoir que le salaire sera versé dans sa totalité avec le financement de la part de la fonction publique des cotisations de la Caisse Nationale de Retraite et de Prévoyance Sociale.
Evoquant l’instauration de la justice sociale, Abid Briki a souligné qu’elle reste tributaire de la lutte contre la corruption, rappelant à ce propos que la Tunisie a entamé ce processus à travers la mise en place d’une législation pour l’accès à l’information et la protection des dénonciateurs en plus de la mise en place de cellules de gouvernance au sein des ministères.
Dans le même contexte, Briki a estimé qu’une majorité s’accorde sur l’étroite relation entre le terrorisme et la corruption, affirmant à ce sujet que la lutte contre le terrorisme reste tributaire de la lutte contre la pauvreté.
Parmi les principales recommandations de la conférence nationale “La réforme du système de la sécurité sociale : de l’encadrement aux droits”, organisée durant deux jours, figurent la révision des législations, la lutte contre l’emploi précaire, l’amélioration de la représentativité locale de la Caisse Nationale de la Sécurité Sociale (CNSS) ainsi que l’implication de la communauté tunisienne à l’étranger dans l’élaboration des plans de développement.
La majorités des réformes prévues dans la loi de la fonction publique a pour objectif de garantir l’égalité des chances, a souligné Abid Briki en révélant qu’une dynamique sera instaurée au sein de la fonction publique afin d’ouvrir des perspectives pour les compétences.
Cette dynamique consiste à faciliter la mobilité des fonctionnaires entre les ministères, a précisé Briki, indiquant que “la mobilité sera aussi possible entre le secteur public et privé avec l’alternative pour le fonctionnaire de reprendre sa fonction initiale si le détachement ne dépasse pas les 5 ans”.
Parmi les réformes, le prolongement de l’autorisation du congé pour la création de projets de 5 ans avec la maintien de la moitié du salaire dans le cas où la création du projet est prévu dans les régions intérieures, a-t-il encore ajouté.
S’agissant de la retraite anticipée dans la fonction publique, une proposition stipulant que le postulant à la retraite avant 55 ans peut bénéficier de deux ans de salaire avec la possibilité d’obtenir un crédit bancaire pour la création d’un projet
Concernant la retraite anticipée à l’âge de 57 ans, Briki a fait savoir que le salaire sera versé dans sa totalité avec le financement de la part de la fonction publique des cotisations de la Caisse Nationale de Retraite et de Prévoyance Sociale.
Evoquant l’instauration de la justice sociale, Abid Briki a souligné qu’elle reste tributaire de la lutte contre la corruption, rappelant à ce propos que la Tunisie a entamé ce processus à travers la mise en place d’une législation pour l’accès à l’information et la protection des dénonciateurs en plus de la mise en place de cellules de gouvernance au sein des ministères.
Dans le même contexte, Briki a estimé qu’une majorité s’accorde sur l’étroite relation entre le terrorisme et la corruption, affirmant à ce sujet que la lutte contre le terrorisme reste tributaire de la lutte contre la pauvreté.
Parmi les principales recommandations de la conférence nationale “La réforme du système de la sécurité sociale : de l’encadrement aux droits”, organisée durant deux jours, figurent la révision des législations, la lutte contre l’emploi précaire, l’amélioration de la représentativité locale de la Caisse Nationale de la Sécurité Sociale (CNSS) ainsi que l’implication de la communauté tunisienne à l’étranger dans l’élaboration des plans de développement.
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