PARTAGE DES TÂCHES - Ce monsieur n'aide pas sa femme à la maison et l'un de ses amis lui a donné une belle leçon de savoir-vivre.
Un texte posté sur Facebook par une internaute le 30 janvier raconte une discussion entre deux copains sur le partage des tâches à la maison. Le premier exprime son étonnement quand son ami part faire la vaisselle: "Heureusement que tu aides ta femme, moi je n'aide pas la mienne parce que quand je le fais je n'ai aucune reconnaissance de sa part. La semaine dernière, j'ai passé la serpillière et même pas un merci". Son ami l'a alors bien remis en place:
"Moi aussi j'ai besoin de manger donc il est nécessaire que moi aussi je cuisine", lui répond son ami. "Je n'aide pas ma femme à faire la vaisselle, je le fais car moi aussi j'ai utilise des assiettes, des verres et des fourchettes quand je mange. Je n'aide pas ma femme à laver, étendre ou plier les vêtements, je le fais car le linge est aussi le mien et celui de mes enfants", poursuit-il.
Quant au "merci"? Il rétorque du tac au tac qu'il ne remercie pas non plus sa femme lorsqu'elle s'attelle à des tâches ménagères.
Ce post Facebook a été partagé près de 150.000 fois et liké plus de 117.000 fois. C'est une internaute, Andrea Bravo, qui a traduit en français ce qui était à la base un texte en portugais. Contactée par Le HuffPost, elle explique ce qui l'a poussée à adapter et traduire cette histoire. "Mon copain était un peu macho quand on s'est connu. Il ne faisait vraiment rien à la maison. On en a beaucoup parlé entre nous et aujourd'hui il pense comme ce monsieur, il fait tout à la maison comme moi, même s'il travaille beaucoup a l'extérieur", détaille-t-elle.
Le texte original en portugais, partagé sur la page "Oi, eu sinto" a été encore plus apprécié qu'en France: près de 400.000 partages et plus de 360.000 likes.
Selon une étude d'octobre 2015 réalisée par des membres de l'Ecole nationale de la statistique (Ensae) et de l'Institut national d'études démographiques (Ined), seulement un quart des hommes (27%) fournit davantage de travail domestique que leur conjointe. Mais l'égalité à la maison avance doucement. 25 ans plus tôt, ils n'étaient que 17%.
Un texte posté sur Facebook par une internaute le 30 janvier raconte une discussion entre deux copains sur le partage des tâches à la maison. Le premier exprime son étonnement quand son ami part faire la vaisselle: "Heureusement que tu aides ta femme, moi je n'aide pas la mienne parce que quand je le fais je n'ai aucune reconnaissance de sa part. La semaine dernière, j'ai passé la serpillière et même pas un merci". Son ami l'a alors bien remis en place:
"Moi aussi j'ai besoin de manger donc il est nécessaire que moi aussi je cuisine", lui répond son ami. "Je n'aide pas ma femme à faire la vaisselle, je le fais car moi aussi j'ai utilise des assiettes, des verres et des fourchettes quand je mange. Je n'aide pas ma femme à laver, étendre ou plier les vêtements, je le fais car le linge est aussi le mien et celui de mes enfants", poursuit-il.
Quant au "merci"? Il rétorque du tac au tac qu'il ne remercie pas non plus sa femme lorsqu'elle s'attelle à des tâches ménagères.
Ce post Facebook a été partagé près de 150.000 fois et liké plus de 117.000 fois. C'est une internaute, Andrea Bravo, qui a traduit en français ce qui était à la base un texte en portugais. Contactée par Le HuffPost, elle explique ce qui l'a poussée à adapter et traduire cette histoire. "Mon copain était un peu macho quand on s'est connu. Il ne faisait vraiment rien à la maison. On en a beaucoup parlé entre nous et aujourd'hui il pense comme ce monsieur, il fait tout à la maison comme moi, même s'il travaille beaucoup a l'extérieur", détaille-t-elle.
Le texte original en portugais, partagé sur la page "Oi, eu sinto" a été encore plus apprécié qu'en France: près de 400.000 partages et plus de 360.000 likes.
Selon une étude d'octobre 2015 réalisée par des membres de l'Ecole nationale de la statistique (Ensae) et de l'Institut national d'études démographiques (Ined), seulement un quart des hommes (27%) fournit davantage de travail domestique que leur conjointe. Mais l'égalité à la maison avance doucement. 25 ans plus tôt, ils n'étaient que 17%.
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