Le président de la République Béji Caïd Essebsi a déclaré, mercredi, à Rome, que « le soutien de l’Italie à l’initiative proposée par la Tunisie, l’Algérie et l’Egypte pour aider la Libye à former un Etat souverain, sans exclusion ni ingérence étrangère, est le bienvenu ».
S’exprimant devant les médias, à l’issue de son entretien avec le président italien, Sergio Mattarella, le chef de l’Etat a estimé que « l’Italie constitue un élément essentiel pour la réussite de cette initiative placée sous l’égide des Nations Unies ».
Il a, par la même occasion, fait remarquer que l’Italie est « le pays européen qui accorde le plus d’intérêt à la situation en Libye, compte tenu des liens historiques liant les deux pays ».
Le président de la République a prononcé, par ailleurs, un discours au Sénat de la République Italienne en présence du président du Sénat, Pietro Grasso, et de la présidente de l’assemblée nationale, Laura Boldrini. Caïd Essebsi a évoqué la question de l’immigration clandestine. Il a indiqué qu’il faut trouver une solution conjointe entre les deux pays pour mettre fin à ce fléau en soulignant la nécessité de détecter les vraies raisons qui poussent les jeunes à mettre leur vie en danger. Il a insisté, d’autre part, sur le défi commun en ce qui concerne la lutte contre le terrorisme. “La Tunisie et l’Italie doivent absolument coopérer à ce niveau,” a-t-il martelé.
Caïd Essebsi est revenu notamment sur les relations économiques qui unissent les deux pays. Il a fait savoir que 860 sociétés italiennes sont actuellement implantées en Tunisie. “C’est de notre intérêt de les protéger,”a-t-il dit en ajoutant que “les Tunisiens mangent de spaghettis plus que les Italiens”.
Le président de la République a entamé ce matin une visite d’Etat de deux jours en Italie, à l’invitation de son homologue italien.
Cette visite de deux jours s’inscrit dans le cadre de la concertation politique et la consolidation de la coopération entre les deux pays. Six conventions englobant divers secteurs d’activité seront signées pendant cette visite.
S’exprimant devant les médias, à l’issue de son entretien avec le président italien, Sergio Mattarella, le chef de l’Etat a estimé que « l’Italie constitue un élément essentiel pour la réussite de cette initiative placée sous l’égide des Nations Unies ».
Il a, par la même occasion, fait remarquer que l’Italie est « le pays européen qui accorde le plus d’intérêt à la situation en Libye, compte tenu des liens historiques liant les deux pays ».
Le président de la République a prononcé, par ailleurs, un discours au Sénat de la République Italienne en présence du président du Sénat, Pietro Grasso, et de la présidente de l’assemblée nationale, Laura Boldrini. Caïd Essebsi a évoqué la question de l’immigration clandestine. Il a indiqué qu’il faut trouver une solution conjointe entre les deux pays pour mettre fin à ce fléau en soulignant la nécessité de détecter les vraies raisons qui poussent les jeunes à mettre leur vie en danger. Il a insisté, d’autre part, sur le défi commun en ce qui concerne la lutte contre le terrorisme. “La Tunisie et l’Italie doivent absolument coopérer à ce niveau,” a-t-il martelé.
Caïd Essebsi est revenu notamment sur les relations économiques qui unissent les deux pays. Il a fait savoir que 860 sociétés italiennes sont actuellement implantées en Tunisie. “C’est de notre intérêt de les protéger,”a-t-il dit en ajoutant que “les Tunisiens mangent de spaghettis plus que les Italiens”.
Le président de la République a entamé ce matin une visite d’Etat de deux jours en Italie, à l’invitation de son homologue italien.
Cette visite de deux jours s’inscrit dans le cadre de la concertation politique et la consolidation de la coopération entre les deux pays. Six conventions englobant divers secteurs d’activité seront signées pendant cette visite.
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