Elle fait partie des membres du jury de la 67ème édition de la Berlinale qui se tient du 9 au 19 février. Lors de la cérémonie d'ouverture de ce prestigieux festival de cinéma, Dorra Bouchoucha a eu droit, comme les autres membres du jury, à une vidéo introduisant son parcours et son oeuvre.
La cinéaste tunisienne a été présentée par la voix off comme "le grand succès" : des étapes importantes de son parcours artistique ont été énumérées alors que se déroulait , sur écran et en noir et blanc, un reportage muet précédant son entrée sur scène.
Au lendemain de cette ouverture, Dorra Bouchoucha a accepté de répondre à quelques questions du HuffPost Tunisie.
HuffPost Tunisie: Comment avez-vous vécu ce moment?
Dorra Bouchoucha: Cela m'a toujours fait drôle qu'on parle de moi, même si cela peut surprendre! Notre métier mène à la notoriété forcément mais ce n'est pas ce que je recherche le plus. C'est à ne pas prendre pour de la fausse modestie! En revanche, être reconnue pour mon travail me fait plaisir. la vidéo et surtout la voix dessus relatant mon travail m'a beaucoup émue.
Etre membre du jury de ce prestigieux festival. Une consécration ou une expérience de plus pour vous?
Je suis vraiment honorée d'être membre du jury d'un des plus grands festivals de cinéma au monde. Je suis honorée également de l'être aux côtés d'autres membres connus et reconnus comme Paul Verhoeven, Christian Jankowski...
Je suis fière de représenter notre cinéma tunisien et arabe, un cinéma qui reflète le monde dans lequel, désormais, nous vivons.
Quel accueil a le cinéma tunisien que vous représentez, d'une certaine manière, à Berlin?
Notre cinéma passe auprès de publics différents et internationaux; il plait, en Espagne, en France, en Allemagne...
On est très conscients de la renaissance du cinéma tunisien, mais pas uniquement, c'est le cinéma arabe qui vit une dynamique nouvelle. Nos films reflètent la liberté, ils dégagent quelque chose de différent, une sorte de fraîcheur...
Des films tunisiens ont, dans les derniers mois, glané des prix prestigieux: "Le dernier d'entre nous" de Alaeddine Slim, "Hedi" de Mohamed Ben Attia, "A peine j'ouvre les yeux" de Layla Bouzid....
Ces quatre ou cinq dernières années ont été marquantes pour notre cinéma et d'autres productions auront, à coup sûr, du succès, dans les prochains mois.
La cinéaste tunisienne a été présentée par la voix off comme "le grand succès" : des étapes importantes de son parcours artistique ont été énumérées alors que se déroulait , sur écran et en noir et blanc, un reportage muet précédant son entrée sur scène.
Au lendemain de cette ouverture, Dorra Bouchoucha a accepté de répondre à quelques questions du HuffPost Tunisie.
HuffPost Tunisie: Comment avez-vous vécu ce moment?
Dorra Bouchoucha: Cela m'a toujours fait drôle qu'on parle de moi, même si cela peut surprendre! Notre métier mène à la notoriété forcément mais ce n'est pas ce que je recherche le plus. C'est à ne pas prendre pour de la fausse modestie! En revanche, être reconnue pour mon travail me fait plaisir. la vidéo et surtout la voix dessus relatant mon travail m'a beaucoup émue.
Etre membre du jury de ce prestigieux festival. Une consécration ou une expérience de plus pour vous?
Je suis vraiment honorée d'être membre du jury d'un des plus grands festivals de cinéma au monde. Je suis honorée également de l'être aux côtés d'autres membres connus et reconnus comme Paul Verhoeven, Christian Jankowski...
Je suis fière de représenter notre cinéma tunisien et arabe, un cinéma qui reflète le monde dans lequel, désormais, nous vivons.
Quel accueil a le cinéma tunisien que vous représentez, d'une certaine manière, à Berlin?
Notre cinéma passe auprès de publics différents et internationaux; il plait, en Espagne, en France, en Allemagne...
On est très conscients de la renaissance du cinéma tunisien, mais pas uniquement, c'est le cinéma arabe qui vit une dynamique nouvelle. Nos films reflètent la liberté, ils dégagent quelque chose de différent, une sorte de fraîcheur...
Des films tunisiens ont, dans les derniers mois, glané des prix prestigieux: "Le dernier d'entre nous" de Alaeddine Slim, "Hedi" de Mohamed Ben Attia, "A peine j'ouvre les yeux" de Layla Bouzid....
Ces quatre ou cinq dernières années ont été marquantes pour notre cinéma et d'autres productions auront, à coup sûr, du succès, dans les prochains mois.
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