Le cimetière chrétien de Sfax a été vandalisé dans la matinée du dimanche 12 février. Une enquête a été ouverte et les criminels restent inconnus.
Sur l'un des murs, ils ont tagué "Il n y a pas d'autre dieu qu'Allah", ce qui laisse supposer que cet acte de vandalisme est à but idéologique.
L'Association tunisienne de soutien des minorités (ATSM) a publié un communiqué dénonçant cette attaque, qui va à l'encontre du pluralisme culturel et de la paix entre les citoyens.
L'association a appelé les autorités à ouvrir une enquête afin d'arrêter les criminels, mais aussi à sécuriser les sites destinés aux minorités, afin d'éviter de potentielles attaques.
Yamina Thabet, présidente de l'ATSM, s'est aussi exprimée sur le réseau social Facebook, précisant qu'en 2012, "le cimetière chrétien de Tunis avait déjà été la cible d'actes de vandalisme."
Selon le correspondant de Shems FM, qui avait contacté le Président de la délégation spéciale de la municipalité de Sfax, Mabrouk Ksontini, le gardien du cimetière est récemment parti à la retraite et n'a pas été remplacé.
Sur l'un des murs, ils ont tagué "Il n y a pas d'autre dieu qu'Allah", ce qui laisse supposer que cet acte de vandalisme est à but idéologique.
L'Association tunisienne de soutien des minorités (ATSM) a publié un communiqué dénonçant cette attaque, qui va à l'encontre du pluralisme culturel et de la paix entre les citoyens.
L'association a appelé les autorités à ouvrir une enquête afin d'arrêter les criminels, mais aussi à sécuriser les sites destinés aux minorités, afin d'éviter de potentielles attaques.
Yamina Thabet, présidente de l'ATSM, s'est aussi exprimée sur le réseau social Facebook, précisant qu'en 2012, "le cimetière chrétien de Tunis avait déjà été la cible d'actes de vandalisme."
Selon le correspondant de Shems FM, qui avait contacté le Président de la délégation spéciale de la municipalité de Sfax, Mabrouk Ksontini, le gardien du cimetière est récemment parti à la retraite et n'a pas été remplacé.
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