Le nouveau directeur des Journées Cinématographiques de Carthage pour les éditions 2017 et 2018 sera Néjib Ayed a indiqué un communiqué publié par le ministère des Affaires culturelles.
Né le 13 décembre 1953 à Ksar Hellal, Néjib Ayed a une maîtrise en Lettres Françaises. Il a été durant les années 1970, secrétaire général puis président de la Fédération Tunisienne des Ciné – Clubs (FTCC).
Dans les années 1980, il a été directeur de la SATPEC (Société Anonyme Tunisienne de Production et d'Expansion cinématographique), chargé des Productions, puis de la Promotion Internationale. Il a notamment contribué en tant que Producteur Délégué ou Producteur Exécutif, à la production de plusieurs films tunisiens.
Passé par le journalisme, il a été pendant 2 années, critique cinématographique pour le journal "Le Temps" mais aussi responsable de la rubrique Culture pour le magazine “Réalités”.
Depuis 1999, il est producteur indépendant à travers sa société de production "Rives productions".
Parmi les films qu'il a produits, l'on retrouve: “Une Odyssée” de Brahim Babaï, "War reporter" (Il Hay Irrawah) de Mohamed Amine Boukhris, "le Royaume des Fourmis" de Chawki El Mejri, de nombreux autres longs et courts métrages, ainsi que le succès du dernier ramadan sur El Hiwar Ettounsi, la série "Flashback" avec Lotfi Abdelli.
Néjib Ayed succède ainsi à Brahim Letaief à la tête des JCC.
Ce dernier a été démis de ses fonctions le 14 novembre dernier après de nombreuses tensions. Intervenant, sur les ondes de Radio Mosaïque Fm, Brahim Letaief avait indiqué avoir démissionné "j'ai démissionné, je n'ai pas été viré" a t-il affirmé. "J'avais déjà affirmé avant le déroulement des JCC que je ne continuerai pas après cette édition".
Les griefs de Brahim Letaief s'étaient alors dirigés contre le ministre des Affaires Culturelles Mohamed Zine El Abidine: "Quand a commencé mon problème avec Mohamed (Zine El Abidine)? Lorsque la veille (des JCC), il est venu me demander qu'il voulait faire un discours lors de la cérémonie d'ouverture. Je lui ai dit 'monsieur le ministre, non! Vous n'avez aucune raison pour monter (sur scène)' " indiquant lui avoir demandé de dire clairement qu'il reconnait l'indépendance des JCC ou qu'il allait y réfléchir.
Né le 13 décembre 1953 à Ksar Hellal, Néjib Ayed a une maîtrise en Lettres Françaises. Il a été durant les années 1970, secrétaire général puis président de la Fédération Tunisienne des Ciné – Clubs (FTCC).
Dans les années 1980, il a été directeur de la SATPEC (Société Anonyme Tunisienne de Production et d'Expansion cinématographique), chargé des Productions, puis de la Promotion Internationale. Il a notamment contribué en tant que Producteur Délégué ou Producteur Exécutif, à la production de plusieurs films tunisiens.
Passé par le journalisme, il a été pendant 2 années, critique cinématographique pour le journal "Le Temps" mais aussi responsable de la rubrique Culture pour le magazine “Réalités”.
Depuis 1999, il est producteur indépendant à travers sa société de production "Rives productions".
Parmi les films qu'il a produits, l'on retrouve: “Une Odyssée” de Brahim Babaï, "War reporter" (Il Hay Irrawah) de Mohamed Amine Boukhris, "le Royaume des Fourmis" de Chawki El Mejri, de nombreux autres longs et courts métrages, ainsi que le succès du dernier ramadan sur El Hiwar Ettounsi, la série "Flashback" avec Lotfi Abdelli.
Néjib Ayed succède ainsi à Brahim Letaief à la tête des JCC.
Ce dernier a été démis de ses fonctions le 14 novembre dernier après de nombreuses tensions. Intervenant, sur les ondes de Radio Mosaïque Fm, Brahim Letaief avait indiqué avoir démissionné "j'ai démissionné, je n'ai pas été viré" a t-il affirmé. "J'avais déjà affirmé avant le déroulement des JCC que je ne continuerai pas après cette édition".
Les griefs de Brahim Letaief s'étaient alors dirigés contre le ministre des Affaires Culturelles Mohamed Zine El Abidine: "Quand a commencé mon problème avec Mohamed (Zine El Abidine)? Lorsque la veille (des JCC), il est venu me demander qu'il voulait faire un discours lors de la cérémonie d'ouverture. Je lui ai dit 'monsieur le ministre, non! Vous n'avez aucune raison pour monter (sur scène)' " indiquant lui avoir demandé de dire clairement qu'il reconnait l'indépendance des JCC ou qu'il allait y réfléchir.
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