Le Canada a perdu le trace de Belhassen Trabelsi. C'est du moins ce que révèle le média canadien la Presse.
Devant être expulsé mardi 31 mai vers la Tunisie, le beau-frère de l'ex-président déchue Zine El Abidine Ben Ali, a disparu.
L'expulsion de Belhassen Trabelsi, condamné à une quinzaine d'années de prison en Tunisie, a été annulé "parce que les autorités canadiennes ont perdu sa trace au terme de cinq ans de procédures judiciaires à Montréal" affirme la Presse.ca.
La Cour Fédérale canadienne aurait donc en conséquence annulé l'expulsion suite à l'absence de M. Trabelsi.
Retour sur l'affaire
La Cour Fédéral canadienne aurait donc annulé l'expulsion suite à l'absence de M. Trabelsi.
Tout avait commencé par une demande de sursis à l'expulsion de l'avocat du frère de l'ex-première dame Leila Trabelsi.
Si cette demande a été refusée par le juge Yvan Roy, celui s'est rendu compte de l'absence de l'intéressé, l'avocat de Belhassen Trabelsi, affirmant lui-même que ce dernier était "introuvable" selon le média canadien. Autre fait troublant selon le juge, l'absence de l'intéressé aux préparatifs de son renvoi à l'Agence des services frontaliers du Canada le 24 mai 2016.
En janvier 2011, quand la révolution éclate, Belhassen Trabelsi et sa famille quittent la Tunisie pour Montréal. Quelques mois, plus tard, en septembre, il est condamné à 15 ans de prisons pour diverses affaires.
En mars 2015, sa demande d'asile au Canada est refusée par les autorités.
Le 22 mai dernier, le ministre des Domaines de l'Etat, Hatem Eleuchi a affirmé sur le plateau de l'émission" Liman Yajroo Fakat" à El Hiwar Ettounssi, que Belhassen Trabelsi a envoyé une lettre à l'IVD dans le but que son dossier soit accepté par la commission de l'arbitrage et de réconciliation, emboitant ainsi le pas à Slim Chiboub, gendre de Ben Ali.
Devant être expulsé mardi 31 mai vers la Tunisie, le beau-frère de l'ex-président déchue Zine El Abidine Ben Ali, a disparu.
L'expulsion de Belhassen Trabelsi, condamné à une quinzaine d'années de prison en Tunisie, a été annulé "parce que les autorités canadiennes ont perdu sa trace au terme de cinq ans de procédures judiciaires à Montréal" affirme la Presse.ca.
La Cour Fédérale canadienne aurait donc en conséquence annulé l'expulsion suite à l'absence de M. Trabelsi.
Retour sur l'affaire
La Cour Fédéral canadienne aurait donc annulé l'expulsion suite à l'absence de M. Trabelsi.
Tout avait commencé par une demande de sursis à l'expulsion de l'avocat du frère de l'ex-première dame Leila Trabelsi.
Si cette demande a été refusée par le juge Yvan Roy, celui s'est rendu compte de l'absence de l'intéressé, l'avocat de Belhassen Trabelsi, affirmant lui-même que ce dernier était "introuvable" selon le média canadien. Autre fait troublant selon le juge, l'absence de l'intéressé aux préparatifs de son renvoi à l'Agence des services frontaliers du Canada le 24 mai 2016.
En janvier 2011, quand la révolution éclate, Belhassen Trabelsi et sa famille quittent la Tunisie pour Montréal. Quelques mois, plus tard, en septembre, il est condamné à 15 ans de prisons pour diverses affaires.
En mars 2015, sa demande d'asile au Canada est refusée par les autorités.
Le 22 mai dernier, le ministre des Domaines de l'Etat, Hatem Eleuchi a affirmé sur le plateau de l'émission" Liman Yajroo Fakat" à El Hiwar Ettounssi, que Belhassen Trabelsi a envoyé une lettre à l'IVD dans le but que son dossier soit accepté par la commission de l'arbitrage et de réconciliation, emboitant ainsi le pas à Slim Chiboub, gendre de Ben Ali.
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