Deux jihadistes présumés ont été tués par l'armée tunisienne lors d'une opération de ratissage en cours dans les montagnes de la région de Kasserine (centre), a indiqué mercredi le ministère de la Défense.
"Deux terroristes" ont été abattus mardi soir au mont Sammama, a affirmé dans un communiqué ce ministère, qui parle de bilan préliminaire dans l'attente de la fin de l'opération.
Des médias tunisiens, citant des "sources militaires", évoquent un bilan plus élevé, de quatre à sept jihadistes présumés tués.
Une source hospitalière à Kasserine a de son côté affirmé à l'AFP qu'un militaire a été blessé par balle.
Le 17 février, deux jihadistes avaient déjà été abattus au mont Sammama par une unité militaire.
Les forces de sécurité et l'armée traquent depuis des années des groupes extrémistes armés retranchés dans les zones montagneuses, notamment dans la région de Kasserine, proche de la frontalière algérienne. Ces groupes se revendiquent le plus souvent d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) ou de l'organisation ultra-radicale Etat islamique (EI).
L'essor d'une mouvance jihadiste en Tunisie depuis la révolution de 2011 est responsable de la mort de dizaines de soldats et policiers mais aussi de civils et de 59 touristes étrangers, selon des chiffres officiels.
Le pays est sous état d'urgence permanent depuis un an et demi.
"Deux terroristes" ont été abattus mardi soir au mont Sammama, a affirmé dans un communiqué ce ministère, qui parle de bilan préliminaire dans l'attente de la fin de l'opération.
Des médias tunisiens, citant des "sources militaires", évoquent un bilan plus élevé, de quatre à sept jihadistes présumés tués.
Une source hospitalière à Kasserine a de son côté affirmé à l'AFP qu'un militaire a été blessé par balle.
Le 17 février, deux jihadistes avaient déjà été abattus au mont Sammama par une unité militaire.
Les forces de sécurité et l'armée traquent depuis des années des groupes extrémistes armés retranchés dans les zones montagneuses, notamment dans la région de Kasserine, proche de la frontalière algérienne. Ces groupes se revendiquent le plus souvent d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) ou de l'organisation ultra-radicale Etat islamique (EI).
L'essor d'une mouvance jihadiste en Tunisie depuis la révolution de 2011 est responsable de la mort de dizaines de soldats et policiers mais aussi de civils et de 59 touristes étrangers, selon des chiffres officiels.
Le pays est sous état d'urgence permanent depuis un an et demi.
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