Khalil Ghariani a décliné le poste de ministre de la Gouvernance et de la fonction publique proposé par le chef du gouvernement Youssef Chahed, après le remaniement opéré le 25 février dernier.
S’exprimant sur les ondes de Mosaïque FM, Khalil Ghariani a expliqué que sa décision a été prise suite à une longue réflexion qui s’est basée, essentiellement, sur les circonstances politiques et sociales extrêmement tendues du pays. Exprimant sa fierté d’avoir été proposé à ce poste – lors de sa réunion matinale avec Youssef Chahed – Khalil Ghariani a expliqué au chef du gouvernement l’importance de sauvegarder les équilibres politiques et sociaux du pays et la nécessité, pour le gouvernement d’union nationale, de protéger l’équation entre la centrale patronale et l’Union générale tunisienne du travail (UGTT).
Niant avoir subi des pressions de la part de l’UTICA, Khalil Ghariani a assuré qu’il restera à la disposition de tout travail qui pourrait apporter le plus au pays.
Rappelons que quelques jours après l’annonce du remaniement ministériel partiel, la présidente de l’UTICA, Wided Bouchamaoui, a indiqué que l’organisation n’a pas été consultée lors du remaniement en question et que la nomination de Khalil Ghariani au poste de ministre de la Gouvernance et de la fonction publique ne touche en rien l’indépendance de la centrale patronale.
Par ailleurs, cette même nomination avait fortement irrité l’UGTT dont le porte-parole, Sami Tahri, avait assuré que la centrale syndicale n’avait aucun problème avec le limogeage d’Abid Briki mais avec la nomination d’un homme d’affaires à la tête d’un poste aussi stratégique que sensible. Sami Tahri avait même qualifié cette nomination de ‘provocation’ à l’encontre de l’UGTT et de ses militants.
Le discours de la centrale syndicale s’est cependant apaisé après que son secrétaire-général, Noureddine Taboubi, s’est entretenu avec le chef du gouvernement et le président de la République. Suite à ces deux entretiens, Taboubi avait déclaré que l’UGTT a décidé de donner la priorité à la voie de la raison et de l’apaisement et ce afin de respecter les intérêts suprêmes du pays.
Le journaliste Omar Shabou était l’invité de la matinale de Nessma Live ce matin où il a annoncé que le membre du bureau exécutif de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), Khalil Ghariani, s’apprêtait à décliner officiellement le poste de ministre de la Gouvernance et de la fonction publique. Quelques heures plus tard, et suite à un entretien avec le chef du gouvernement, Ghariani a déclaré qu’il était dans l’obligation de décliner l’offre gouvernementale.
S’exprimant sur les ondes de Mosaïque FM, Khalil Ghariani a expliqué que sa décision a été prise suite à une longue réflexion qui s’est basée, essentiellement, sur les circonstances politiques et sociales extrêmement tendues du pays. Exprimant sa fierté d’avoir été proposé à ce poste – lors de sa réunion matinale avec Youssef Chahed – Khalil Ghariani a expliqué au chef du gouvernement l’importance de sauvegarder les équilibres politiques et sociaux du pays et la nécessité, pour le gouvernement d’union nationale, de protéger l’équation entre la centrale patronale et l’Union générale tunisienne du travail (UGTT).
Niant avoir subi des pressions de la part de l’UTICA, Khalil Ghariani a assuré qu’il restera à la disposition de tout travail qui pourrait apporter le plus au pays.
Rappelons que quelques jours après l’annonce du remaniement ministériel partiel, la présidente de l’UTICA, Wided Bouchamaoui, a indiqué que l’organisation n’a pas été consultée lors du remaniement en question et que la nomination de Khalil Ghariani au poste de ministre de la Gouvernance et de la fonction publique ne touche en rien l’indépendance de la centrale patronale.
Par ailleurs, cette même nomination avait fortement irrité l’UGTT dont le porte-parole, Sami Tahri, avait assuré que la centrale syndicale n’avait aucun problème avec le limogeage d’Abid Briki mais avec la nomination d’un homme d’affaires à la tête d’un poste aussi stratégique que sensible. Sami Tahri avait même qualifié cette nomination de ‘provocation’ à l’encontre de l’UGTT et de ses militants.
Le discours de la centrale syndicale s’est cependant apaisé après que son secrétaire-général, Noureddine Taboubi, s’est entretenu avec le chef du gouvernement et le président de la République. Suite à ces deux entretiens, Taboubi avait déclaré que l’UGTT a décidé de donner la priorité à la voie de la raison et de l’apaisement et ce afin de respecter les intérêts suprêmes du pays.
Le journaliste Omar Shabou était l’invité de la matinale de Nessma Live ce matin où il a annoncé que le membre du bureau exécutif de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (UTICA), Khalil Ghariani, s’apprêtait à décliner officiellement le poste de ministre de la Gouvernance et de la fonction publique. Quelques heures plus tard, et suite à un entretien avec le chef du gouvernement, Ghariani a déclaré qu’il était dans l’obligation de décliner l’offre gouvernementale.
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.