Les structures de la fonction publique ont toujours été sous la tutelle de la présidence du gouvernement. Elles n’ont été séparées des services de la présidence du gouvernement qu’à une ou deux reprises et pour une courte durée, a indiqué jeudi le porte-parole de la présidence du gouvernement, Iyed Dahmani.
Il répondait à une question à propos de la décision, prise par le chef du gouvernement de supprimer le ministère de la fonction publique et de la gouvernance et de rattacher les structures et les institutions qui relèvent du département à la présidence du gouvernement.
Dans une déclaration à la presse, jeudi en fin de journée, au Palais du gouvernement à la Kasbah, Dahmani a estimé qu’il s’agit d’une mesure ordinaire et sans conséquences.
Cette décision sera soumise au Conseil des ministres, en application des dispositions de l’article 92 de la Constitution qui fixe les attributions du chef du gouvernement.
Reçu plus tôt dans la journée par le chef du gouvernement, Khalil Ghariani, nommé, samedi dernier, ministre de la Fonction publique et de la gouvernance, s’est excusé de ne pas pouvoir accepter ce poste.
Une décision qu’il a prise “en tenant compte de l’intérêt du pays et afin d’éviter une éventuelle crise”.
Dans une déclaration de presse, il a affirmé que sa décision est personnelle et a pour objectif de préserver les équilibres sociaux et politiques et par considération pour l’Union générale tunisienne du travail et “sa relation profonde” avec le patronat.
Il a affirmé n’avoir subi aucune pression de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat, indiquant que les structures relevant du patronat avaient appuyé sa nomination à la tête du ministère de la fonction publique.
Il répondait à une question à propos de la décision, prise par le chef du gouvernement de supprimer le ministère de la fonction publique et de la gouvernance et de rattacher les structures et les institutions qui relèvent du département à la présidence du gouvernement.
Dans une déclaration à la presse, jeudi en fin de journée, au Palais du gouvernement à la Kasbah, Dahmani a estimé qu’il s’agit d’une mesure ordinaire et sans conséquences.
Cette décision sera soumise au Conseil des ministres, en application des dispositions de l’article 92 de la Constitution qui fixe les attributions du chef du gouvernement.
Reçu plus tôt dans la journée par le chef du gouvernement, Khalil Ghariani, nommé, samedi dernier, ministre de la Fonction publique et de la gouvernance, s’est excusé de ne pas pouvoir accepter ce poste.
Une décision qu’il a prise “en tenant compte de l’intérêt du pays et afin d’éviter une éventuelle crise”.
Dans une déclaration de presse, il a affirmé que sa décision est personnelle et a pour objectif de préserver les équilibres sociaux et politiques et par considération pour l’Union générale tunisienne du travail et “sa relation profonde” avec le patronat.
Il a affirmé n’avoir subi aucune pression de l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat, indiquant que les structures relevant du patronat avaient appuyé sa nomination à la tête du ministère de la fonction publique.
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