Les doctorants, les chercheurs universitaires et les étudiants en doctorat entameront, mardi 07 mars, une grève ouverte réclamant au ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique une réforme radicale du troisième cycle universitaire ainsi que des politiques menées en matière de recherches scientifiques, si une solution n'est pas trouvée dans la journée lors d'une négociation avec la conseillère du ministre de l'Enseignement supérieur.
Dans une déclaration accordée à la TAP, Imen Sallem, membre de la coordination des doctorants et des étudiants en doctorat a affirmé qu' "une liste de revendications, de solutions et de propositions a été adressée au ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique" ajoutant qu'il y a une "aggravation du taux de chômage chez les jeunes détenteurs d'un doctorat, et qui représentent plus de 4000 diplômés".
Selon elle, la coordination des doctorants et des étudiants en doctorat souhaite que le métier de chercheur soit reconnu en tant que tel et que celui-ci soit régit par une loi claire protégeant les droits et la dignité des docteurs. Parmi les revendications, l'on trouve également la demande de recrutement de doctorants chômeurs notamment au niveau des universités privés.
Imen Sallem a également regretté "l'absence de considération de la part du ministère de tutelle à ces différentes revendications" reprochant à celui-ci de ne pas avoir pris au sérieux les différents mouvements de protestations des doctorants et des étudiants en doctorat.
Les mouvements de protestations ont débuté depuis le début du mois de mars dans plusieurs régions du pays, notamment à la faculté des sciences de Sfax, mais aussi à Tunis, à Bizerte, Gafsa et Gabès.
Dans une déclaration accordée à la TAP, Imen Sallem, membre de la coordination des doctorants et des étudiants en doctorat a affirmé qu' "une liste de revendications, de solutions et de propositions a été adressée au ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique" ajoutant qu'il y a une "aggravation du taux de chômage chez les jeunes détenteurs d'un doctorat, et qui représentent plus de 4000 diplômés".
Selon elle, la coordination des doctorants et des étudiants en doctorat souhaite que le métier de chercheur soit reconnu en tant que tel et que celui-ci soit régit par une loi claire protégeant les droits et la dignité des docteurs. Parmi les revendications, l'on trouve également la demande de recrutement de doctorants chômeurs notamment au niveau des universités privés.
Imen Sallem a également regretté "l'absence de considération de la part du ministère de tutelle à ces différentes revendications" reprochant à celui-ci de ne pas avoir pris au sérieux les différents mouvements de protestations des doctorants et des étudiants en doctorat.
Les mouvements de protestations ont débuté depuis le début du mois de mars dans plusieurs régions du pays, notamment à la faculté des sciences de Sfax, mais aussi à Tunis, à Bizerte, Gafsa et Gabès.
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