Amel Moussa, nommée présidente du festival de Carthage le 5 décembre 2016, a rendu le tablier, ce lundi 6 mars en présentant sa démission.
La poétesse et chercheuse universitaire a expliqué sur les ondes de Mosaïque FM, que la raison principale de sa démission est l'impossibilité de travailler dans de bonnes conditions à cause de l'ingérence du ministère des Affaires Culturelles dans ses choix à travers ses conseillers, mettant ainsi en cause l'indépendance du festival.
"J'ai accepté ce poste après des garanties personnelles de la part du ministre de la Culture. J'ai commencé à oeuvrer pour une édition digne du festival cette année mais je ne peux en plus travailler. Depuis deux mois, une guerre de nerfs s'est installée avec le ministre. Les conditions ne sont pas bonnes pour organiser une édition respectable, qui hausserait l'image de la Tunisie, surtout à l'étranger dans ces conditions délicates", a-t-elle expliqué.
Et d'ajouter: "Je tiens à dire que le festival est plus grand que moi, plus grand que le ministre de la Culture et tous ceux qui travaillent au ministère", a-t-elle renchéri.
Amel Moussa a affirmé qu'elle tiendra, mardi le 7 mars, une conférence de presse pour revenir sur les détails de sa démission.
La poétesse et chercheuse universitaire a expliqué sur les ondes de Mosaïque FM, que la raison principale de sa démission est l'impossibilité de travailler dans de bonnes conditions à cause de l'ingérence du ministère des Affaires Culturelles dans ses choix à travers ses conseillers, mettant ainsi en cause l'indépendance du festival.
"J'ai accepté ce poste après des garanties personnelles de la part du ministre de la Culture. J'ai commencé à oeuvrer pour une édition digne du festival cette année mais je ne peux en plus travailler. Depuis deux mois, une guerre de nerfs s'est installée avec le ministre. Les conditions ne sont pas bonnes pour organiser une édition respectable, qui hausserait l'image de la Tunisie, surtout à l'étranger dans ces conditions délicates", a-t-elle expliqué.
Et d'ajouter: "Je tiens à dire que le festival est plus grand que moi, plus grand que le ministre de la Culture et tous ceux qui travaillent au ministère", a-t-elle renchéri.
Amel Moussa a affirmé qu'elle tiendra, mardi le 7 mars, une conférence de presse pour revenir sur les détails de sa démission.
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