Le torchon brûle encore entre le syndicat de l’enseignement supérieur, relevant de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) et le ministre de l’Education nationale, Néji Jalloul.
Lors de la réunion du Comité administratif samedi dernier, le secrétaire-général adjoint de l’UGTT, Mohamed Ali Boughdiri – qui a présidé ladite réunion – s’est retiré de la salle en signe de protestation contre la décision de la grève générale.
Intervenant sur les ondes de Mosaïque FM, Mohamed Ali Boughdiri a assuré qu’il ne signera aucune décision qui pourrait mettre en péril l’année scolaire ou encore les examens nationaux. Selon l’intéressé, le syndicat finira par prendre une décision sage qui respectera son rôle et sa responsabilité historique. Toujours selon le concerné, la réunion du samedi ne s’est pas du tout penchée sur le limogeage de Néji Jalloul mais elle aurait plutôt été dédiée à l’application des accords du 4 février dernier.
Autre son de cloche de la part du secrétaire-général du syndicat régional de l’enseignement secondaire (Gafsa), Jamel Sadraoui, qui a déclaré que les syndicats régionaux campent sur leurs positions en ce qui concerne la grève générale jusqu’à ce que le chef du gouvernement, Youssef Chahed, limoge le ministre de l’Education nationale.
En dépit de la position du secrétaire-général adjoint de la centrale syndicale, le comité directeur de l’enseignement secondaire a annoncé la grève générale illimitée avec, pour date de début, le 27 mars courant et, pour date de fin, celle du limogeage de Néji Jalloul.
Une affaire qui dure depuis plusieurs mois déjà et où le syndicat de l’enseignement secondaire a déjà entamé plusieurs formes de manifestations après avoir fait le constat que Néji Jalloul a atteint la dignité des enseignants à cause de ses multiples déclarations médiatiques.
Lors de la réunion du Comité administratif samedi dernier, le secrétaire-général adjoint de l’UGTT, Mohamed Ali Boughdiri – qui a présidé ladite réunion – s’est retiré de la salle en signe de protestation contre la décision de la grève générale.
Intervenant sur les ondes de Mosaïque FM, Mohamed Ali Boughdiri a assuré qu’il ne signera aucune décision qui pourrait mettre en péril l’année scolaire ou encore les examens nationaux. Selon l’intéressé, le syndicat finira par prendre une décision sage qui respectera son rôle et sa responsabilité historique. Toujours selon le concerné, la réunion du samedi ne s’est pas du tout penchée sur le limogeage de Néji Jalloul mais elle aurait plutôt été dédiée à l’application des accords du 4 février dernier.
Dans une déclaration accordée, ce mardi 13 mars, au quotidien arabophone le Maghreb, Mohamed Ali Boughdiri a indiqué que le Comité administratif n’a pas signé et ne compte pas signer la suspension des cours. Le secrétaire-général adjoint de l’UGTT a assuré que la centrale finira par trouver une solution afin que la dignité du corps de l’enseignement soit restaurée sans pour autant passer par la grève générale ouverte.
Autre son de cloche de la part du secrétaire-général du syndicat régional de l’enseignement secondaire (Gafsa), Jamel Sadraoui, qui a déclaré que les syndicats régionaux campent sur leurs positions en ce qui concerne la grève générale jusqu’à ce que le chef du gouvernement, Youssef Chahed, limoge le ministre de l’Education nationale.
En dépit de la position du secrétaire-général adjoint de la centrale syndicale, le comité directeur de l’enseignement secondaire a annoncé la grève générale illimitée avec, pour date de début, le 27 mars courant et, pour date de fin, celle du limogeage de Néji Jalloul.
Réagissant à ces nouvelles données, le ministre de l’Education nationale a exprimé sa confiance vis-à-vis des dirigeants de l’UGTT en assurant que ces derniers finiront par trouver un terrain d’entente avec les syndicalistes de l’enseignement secondaire. Pour Néji Jalloul, il reste encore du temps pour négocier et trouver une autre issue que celle de la grève ouverte et ce avant la date ultime du 27 mars. Le ministre a indiqué que toutes les parties concernées finiront par faire prévaloir l’intérêt général du pays et celui des élèves pour troncher sur cette affaire.
Une affaire qui dure depuis plusieurs mois déjà et où le syndicat de l’enseignement secondaire a déjà entamé plusieurs formes de manifestations après avoir fait le constat que Néji Jalloul a atteint la dignité des enseignants à cause de ses multiples déclarations médiatiques.
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