Il était connu pour des faits de droit commun. Un Français de 39 ans a été abattu samedi 18 mars dans la matinée à l'aéroport d'Orly Sud, après avoir tenté de s'emparer de l'arme d'une militaire de l'opération Sentinelle.
L'homme avait en fait été repéré plus tôt, dès 6h55 à Garges-lès-Gonesse, dans le Val d'Oise. L'homme a tiré avec un pistolet à grenaille sur des policiers lors d'un contrôle routier, avant de prendre la fuite. Puis à Vitry-sur-Seine dans le Val-de-Marne, quelques minutes avant l'attaque à l'aéroport, il est repéré pour un car jacking. Il est aussi remarqué pour avoir fait "irruption dans un bar proférant des menaces pour ceux qui y étaient", a précisé le ministre de l'Intérieur Bruno Le Roux.
L'homme est "connu des services de police et de renseignement", a aussi indiqué le ministre depuis Orly. Son casier judiciaire comporte "neuf mentions" pour des faits de droit commun dont des vols à main armée et du trafic de stupéfiants.
Il était d'ailleurs fiché "J" au Fichier des personnes recherchées (FPR). Au contraire de la fiche "S" (pour "sûreté de l'État"), qui n'entraîne aucune action automatique de police ou de justice contre la personne, la fiche "J" signifie qu'il était recherché par la police judiciaire.
Il était actuellement sous contrôle judiciaire pour un vol à main armé, d'après une autre source proche de l'enquête. Selon certains médias français, ce dernier serait d'origine tunisienne.
Une perquisition à son domicile
"Détecté comme radicalisé" selon une source policière, l'assaillant d'Orly avait fait l'objet en 2015 d'une perquisition administrative, qui "n'avait rien donné".
Le parquet antiterroriste s'est saisi de l'enquête. Son père et son frère ont été placés en garde à vue samedi, mais "il s'agit à ce stade de gardes à vue tout à fait classiques de personnes dans l'entourage d'un suspect", a souligné une source proche de l'enquête.
Une perquisition était en cours à son domicile de Garges-lès-Gonesse à la mi-journée samedi, ont indiqué des sources proches de l'enquête.
L'homme avait en fait été repéré plus tôt, dès 6h55 à Garges-lès-Gonesse, dans le Val d'Oise. L'homme a tiré avec un pistolet à grenaille sur des policiers lors d'un contrôle routier, avant de prendre la fuite. Puis à Vitry-sur-Seine dans le Val-de-Marne, quelques minutes avant l'attaque à l'aéroport, il est repéré pour un car jacking. Il est aussi remarqué pour avoir fait "irruption dans un bar proférant des menaces pour ceux qui y étaient", a précisé le ministre de l'Intérieur Bruno Le Roux.
L'homme est "connu des services de police et de renseignement", a aussi indiqué le ministre depuis Orly. Son casier judiciaire comporte "neuf mentions" pour des faits de droit commun dont des vols à main armée et du trafic de stupéfiants.
Il était d'ailleurs fiché "J" au Fichier des personnes recherchées (FPR). Au contraire de la fiche "S" (pour "sûreté de l'État"), qui n'entraîne aucune action automatique de police ou de justice contre la personne, la fiche "J" signifie qu'il était recherché par la police judiciaire.
Il était actuellement sous contrôle judiciaire pour un vol à main armé, d'après une autre source proche de l'enquête. Selon certains médias français, ce dernier serait d'origine tunisienne.
Une perquisition à son domicile
"Détecté comme radicalisé" selon une source policière, l'assaillant d'Orly avait fait l'objet en 2015 d'une perquisition administrative, qui "n'avait rien donné".
Le parquet antiterroriste s'est saisi de l'enquête. Son père et son frère ont été placés en garde à vue samedi, mais "il s'agit à ce stade de gardes à vue tout à fait classiques de personnes dans l'entourage d'un suspect", a souligné une source proche de l'enquête.
Une perquisition était en cours à son domicile de Garges-lès-Gonesse à la mi-journée samedi, ont indiqué des sources proches de l'enquête.
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