Le Premier ministre Bernard Cazeneuve se rendra du 5 au 7 avril en Algérie et en Tunisie où il doit rencontrer ses homologues
Abdelmalek Sellal et Youssef Chahed, a annoncé Matignon jeudi, le 23 mars.
A Alger, première étape du voyage, le chef du gouvernement entend saluer l'amélioration des relations franco-algériennes, tendues sous la présidence Sarkozy et devenues "excellentes" sous le quinquennat Hollande, a exposé son entourage.
Cette étape algérienne (5-6 avril) doit être dominée par les thèmes économiques et industriels, selon Matignon.
Le précédent déplacement d'un Premier ministre français est récent: il, remonte à celui de Manuel Valls en avril 2016, qui avait été entaché d'un refus de visas par Alger à deux journalistes français du Monde et de Canal+.
En Tunisie (6-7 avril), le passage de Bernard Cazeneuve doit être dominé par les questions de lutte contre le terrorisme et la radicalisation, selon son entourage.
Le prédécesseur de M. Cazeneuve, Manuel Valls, s'y était rendu en novembre 2016, pour une conférence de donateurs pour soutenir la jeune démocratie tunisienne, fragilisée par des attentats jihadistes.
Abdelmalek Sellal et Youssef Chahed, a annoncé Matignon jeudi, le 23 mars.
A Alger, première étape du voyage, le chef du gouvernement entend saluer l'amélioration des relations franco-algériennes, tendues sous la présidence Sarkozy et devenues "excellentes" sous le quinquennat Hollande, a exposé son entourage.
Cette étape algérienne (5-6 avril) doit être dominée par les thèmes économiques et industriels, selon Matignon.
Le précédent déplacement d'un Premier ministre français est récent: il, remonte à celui de Manuel Valls en avril 2016, qui avait été entaché d'un refus de visas par Alger à deux journalistes français du Monde et de Canal+.
En Tunisie (6-7 avril), le passage de Bernard Cazeneuve doit être dominé par les questions de lutte contre le terrorisme et la radicalisation, selon son entourage.
Le prédécesseur de M. Cazeneuve, Manuel Valls, s'y était rendu en novembre 2016, pour une conférence de donateurs pour soutenir la jeune démocratie tunisienne, fragilisée par des attentats jihadistes.
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.